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Le Soir d'Algérie du 11 Janvier 2016:
Actualités : IL SERA IMPLANTÉ À BOU-ISMAÏL
Un centre d’excellence dédié aux TIC et à la téléphonie pour bientôt


L’Algérie vient de se doter d’un instrument unique dédié au développement des nouvelles technologies du numérique, à travers la réalisation à Bou-Ismaïl d’un Centre national d’excellence dédié aux technologies de l’information, de la communication et de la téléphonie.
La récente visite à Bou Ismaïl de M. Mohammed Mebarki, ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, et du directeur général d’Algérie Télécom sont autant d’indices qui caractérisent l’importance et l’enjeu d’un tel établissement pour le futur de l’Algérie.
C’est d’ailleurs à ce titre que M. Mebarki a tenu à préciser, dans son allocution d’ouverture à destination des cadres d’Algérie Télécom et des cadres du staff de la wilaya de Tipasa, que «l’amélioration de l’acte de formation et la qualification de la ressource humaine, selon les évolutions technologiques du monde, demeurent aujourd’hui parmi les mesures les plus appropriées pour faire face aux mutations économiques de l’heure», a tenu à rappeler le ministre, qui ajoute qu’il a été adopté «une nouvelle démarche basée essentiellement sur une plus grande ouverture de nos établissements de formation sur leur environnement socio-économique».
Dans cette perspective,
M. Mebarki a indiqué que «le développement du partenariat avec les entreprises économiques, à l’effet de déterminer de manière collégiale les spécialités à ouvrir et les contenus de formation, ainsi que l’impact à donner à ces spécialités en vue d’une adéquation de la formation aux besoins du développement».
Définissant l’objectif des centres d’excellence, le ministre précisera «qu’ils s’inscrivent comme une réponse aux changements et aux mutations technologiques dans le monde...».
Ainsi, le centre d’excellence de Bou-Ismaïl permettra, selon l’orateur, de «propulser les technologies de l’information, de la communication et des métiers de la téléphonie notamment par la formation et la mise à disposition du marché de l’emploi de compétences spécialisées».
M. Azouaou Mehmel, le P-dg d’Algérie Télécom, prenant la parole à son tour, mettra l’accent dans ce contexte sur la formation d’une ressource humaine qualifiée, qui constitue un apport majeur à la formation supérieure acquise dans nos établissements supérieurs. Il dira à ce propos : «Il faut que l’élément humain joue un rôle pratique majeur dans les TIC, et dans tous les domaines de l’économie. On a mobilisé nos cinq constructeurs partenaires à l’instar de Cisco, Huawei, Microsoft et d’autres partenaires afin de former nos potentialités dans ces nouvelles technologies, au sein de ce centre d’excellence de Bou-Ismaïl», il ajoute plus loin que «les programmes de formation ont été identifiés et finalisés ainsi que les secteurs auxquels seront dédiés ces qualifications et ces spécialités, à travers les micro-entreprises que l’Ansej a réussi à mettre en place et à homologuer».
Houari Larbi
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Les Informations Locales


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Le moudjahid et cinéaste Mohamed Slim Riad a tiré sa révérence




Le cinéma algérien a perdu l'un de ses génies, le moudjahid et réalisateur Mohamed Slim Riad qui vient de tirer sa révérence lundi dernier à l'âge de 83 ans, après avoir été pendant de nombreuses années un metteur en scène prolifique, tournant plusieurs films qui sont restés gravés dans l'imaginaire algérien.
Nous pensons aux films " La Voie " (1968), " Vent du sud " (1975), " Autopsie d'un complot " (1978), Hassan Taxi (1982), et bien d'autres.
Mohamed Slim Riad a été inhumé hier mercredi à Narbonne (France) où il est décédé lundi dernier.
Né en 1933 à Bou-Ismail (Tipaza), le défunt a entamé sa carrière en tant que photographe. Ses débuts dans le cinéma remontent aux années 1960, période au cours de laquelle il avait réalisé une dizaine de courts métrages avant de se consacrer, dans les années 1970, aux longs métrages.
Slim Riad ne suit aucune formation cinématographique reconnue, mais apprend son métier " sur le tas ", en travaillant à la télévision française. Après sa sortie de prison en raison de son appartenance au FLN, il retourne en Algérie, rejoint la RTA, puis entre au CNCA où il demeure jusqu'à ce que ce dernier soit remplacé par l'ONCIC. Il dirigera également le Centre algérien de l'industrie et du cinéma (Caic).
Il réalise des courts métrages, et réalise également un téléfilm pour la RTA, L'Inspecteur Tahar (1969). Longs métrages : La Voie / Al-tariq (1968), Sana'oud / Sana'od (1972), Vent du sud / Rih al-janub (1975), Autopsie d'un complot / Tachrih mouâmara (1978), Morte la longue nuit (documentaire, avec Ghaouti Bendeddouche, 1979), Hassan Taxi / Hassan taxi (1982).
Militant dans les rangs du Front de Libération nationale (FLN) pendant la guerre de libération nationale, précisément au sein de la Fédération de France du FLN, il a été emprisonné pendant plusieurs années en France.
Après l'indépendance, Mohamed Slim Riad avait notamment dirigé le Centre algérien de l'industrie et du cinéma (Caic)


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Le Soir d'Algérie du 11 Janvier 2016:
Actualités : IL SERA IMPLANTÉ À BOU-ISMAÏL
Un centre d’excellence dédié aux TIC et à la téléphonie pour bientôt


L’Algérie vient de se doter d’un instrument unique dédié au développement des nouvelles technologies du numérique, à travers la réalisation à Bou-Ismaïl d’un Centre national d’excellence dédié aux technologies de l’information, de la communication et de la téléphonie.
La récente visite à Bou Ismaïl de M. Mohammed Mebarki, ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, et du directeur général d’Algérie Télécom sont autant d’indices qui caractérisent l’importance et l’enjeu d’un tel établissement pour le futur de l’Algérie.
C’est d’ailleurs à ce titre que M. Mebarki a tenu à préciser, dans son allocution d’ouverture à destination des cadres d’Algérie Télécom et des cadres du staff de la wilaya de Tipasa, que «l’amélioration de l’acte de formation et la qualification de la ressource humaine, selon les évolutions technologiques du monde, demeurent aujourd’hui parmi les mesures les plus appropriées pour faire face aux mutations économiques de l’heure», a tenu à rappeler le ministre, qui ajoute qu’il a été adopté «une nouvelle démarche basée essentiellement sur une plus grande ouverture de nos établissements de formation sur leur environnement socio-économique».
Dans cette perspective,
M. Mebarki a indiqué que «le développement du partenariat avec les entreprises économiques, à l’effet de déterminer de manière collégiale les spécialités à ouvrir et les contenus de formation, ainsi que l’impact à donner à ces spécialités en vue d’une adéquation de la formation aux besoins du développement».
Définissant l’objectif des centres d’excellence, le ministre précisera «qu’ils s’inscrivent comme une réponse aux changements et aux mutations technologiques dans le monde...».
Ainsi, le centre d’excellence de Bou-Ismaïl permettra, selon l’orateur, de «propulser les technologies de l’information, de la communication et des métiers de la téléphonie notamment par la formation et la mise à disposition du marché de l’emploi de compétences spécialisées».
M. Azouaou Mehmel, le P-dg d’Algérie Télécom, prenant la parole à son tour, mettra l’accent dans ce contexte sur la formation d’une ressource humaine qualifiée, qui constitue un apport majeur à la formation supérieure acquise dans nos établissements supérieurs. Il dira à ce propos : «Il faut que l’élément humain joue un rôle pratique majeur dans les TIC, et dans tous les domaines de l’économie. On a mobilisé nos cinq constructeurs partenaires à l’instar de Cisco, Huawei, Microsoft et d’autres partenaires afin de former nos potentialités dans ces nouvelles technologies, au sein de ce centre d’excellence de Bou-Ismaïl», il ajoute plus loin que «les programmes de formation ont été identifiés et finalisés ainsi que les secteurs auxquels seront dédiés ces qualifications et ces spécialités, à travers les micro-entreprises que l’Ansej a réussi à mettre en place et à homologuer».
Houari Larbi

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À l'ouest d'Alger, des plages transformées en poubelles à ciel ouvert
10:26 mardi 28 juillet 2015 | Par Ghania Berki et Wiam Boulanouar | Actualité
Plages polluees à Bou Ismail by TSA-Tout sur l'Algérie



(© GHANIA BERKI ET WIAM BOULANOUAR - TSA)

Des déchets ménagers, des eaux usées, des déversements de produits chimiques… À Bousmail, une commune entre l'Ouest d'Alger et Tipaza, la plage n'est pas synonyme de vacances et de détente.
La Paillote est une plage connue de Bousmail qui s'étend sur plusieurs kilomètres. Depuis quelques années, elle ressemble à une poubelle à ciel ouvert. Des déchets sur la rive, au bord de la mer, et même dans l'eau au large.
Une situation qui dure depuis 10 ans
" Il n'y a même plus de poissons, même plus de sardines, cette plage est une déchetterie ", dénonce un pêcheur, assis sur sa moto en train de contempler les dégâts. Selon lui, la situation dure depuis une dizaine d'années, " quand les éboueurs viennent, ils prennent la moitié et jettent le reste dans l'eau. Je les ai vus faire ", dénonce-t-il.


(© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA)

Parmi les déchets, des bouteilles de vin et des canettes de bière. Elles sont jetées par centaines sur la plage, devenue l'endroit préféré des jeunes de la région quand ils veulent se changer les idées sans se préoccuper de l'environnement. En plus des déchets, un mélange d'odeur nauséabond se dégage de cette plage, l'air marin n'existe même plus.


(© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA)

Tonic pointé du doigt
" Cela fait 4 ans que je viens, et ça se dégrade chaque année. J'ai même peur de laisser mes enfants nager ", explique Mohamed Lamine, un habitant de Laghouat qui séjourne actuellement chez des amis. Mais cela n'empêche pas certains enfants et même des adultes de nager pour " se rafraîchir ", même s'ils affichent leur inquiétude concernant cette couleur blanche dans l'eau qui est synonyme de forte pollution.


(© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA)

En fait, ces produits chimiques seraient des liquides industriels provenant de la zone industrielle de Bousmail. Selon les habitants de la commune, c'est notamment l'entreprise Tonic qui déverse directement ses déchets dans une partie de cette plage interdite à la baignade.

Une plage nommée " Les égouts "
Un peu plus loin, Abdelkader, pêcheur et employé à la mairie, fréquente " Les égouts " depuis près de 55 ans. Cette petite plage a été baptisée par les Français du temps de la colonisation, car des déchets étaient déversés au large de la mer. " Rien n'a changé depuis l'indépendance. Sauf qu'aujourd'hui, même le bord de mer est infecté ", raconte-t-il. Il met en cause les autorités de la wilaya et de l'APC qui " ne font rien ". Selon lui, il faudrait " Rdjel, des vrais hommes qui s'occupent de cette commune qui va à la dérive ". Il affirme lui aussi que Tonic, et un Faïencier de la région, sont les causes principales de la détérioration des plages.

(© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA) (© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA)

" Personne ne veut arranger les choses "

Avec les temps, les habitants semblent résignés. Hamid est sur la plage pour un barbecue avec des amis. Pour déjeuner proprement, il a " nettoyé " l'endroit où il cuisine. Il explique que " personne ne veut tendre la main à l'autre pour arranger les choses ". Et d'ajouter : " Tout est dans l'éducation, des gens bien élevés ne jetteraient jamais des ordures dehors ".
Plus loin, un autre habitant confirme : " Même si nous nettoyons, il y aura toujours des personnes qui continueront de salir ".
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BOU ISMAÏL
Le front de mer dans tous ses états
Le Soir d'Algerie 26/05/2015

La ville de Bou Ismaïl, située à 45 kilomètres à l’ouest d’Alger, est une ville côtière, qui fait office de daïra regroupant près de 80 000 habitants installés dans une superficie de 25 kilomètres carrés, pour les quatre communes qui la composent, à l’instar de Khemisti, Aïn Tagouraït, Bou Haroun et le chef-lieu de la daïra de Bou ismaïl, qui dispose de près de 50 000 habitants.
La ville de Bou Ismaïl, jadis traversée par une voie ferrée, constituait la fierté de ses anciens habitants, à majorité coloniale, notamment avec ses avenues plantées de platanes et de bigaradiers, mais aussi par son boulevard Front de mer, juché sur une petite falaise, attenante à une plage familiale et qui fut, jadis, réservée aux seules familles coloniales. Cette ville comptait alors près de 8 000 habitants en 1958 selon le recensement de l’époque. Ainsi, ce boulevard Front de mer fut un véritable havre de paix, avec une large promenade piétonne qui, quoique remise en état, se trouve malheureusement aujourd’hui agressée par des déchets jetés le long de la plage qui y est attenante.
Bou Ismaïl reçoit des centaines de touristes étrangers dont certains viennent la visiter par nostalgie, à l’instar des pieds-noirs italiens, espagnols et français. Selon plusieurs riverains, outrés par cette agression de l’environnement «balancer ses ordures à côté ou sur la plage semble être devenu une seconde nature, geste provoquant la dégradation de notre littoral».
Plus grave est la déclaration d’un autre riverain qui affirme que «des monticules d’ordures sont visibles au bord ou dans la mer auxquels s’ajoutent les exutoires de canalisations d’égouts qui souillent l’eau de mer par des déchets plastiques et autres détritus charriés par le déversement des eaux et déchets ménagers. Des odeurs pestilentielles se dégagent alors de ces déchets», clame cet habitant.
Certains habitants de Bou Ismaïl dénoncent «l’incivisme de la population et un manque d’intérêt de la part de l’administration en charge des services publics de collecte et de ramassage des déchets».
D’autres riverains proposent des démarches et des solutions à ce problème : «Chaque citoyen devra participer à la propreté de la ville en accomplissant chaque jour le geste d’éliminer les déchets se trouvant dans son environnement et déposer les ordures dans les poubelles.»
Un autre interlocuteur estime que «l’implication des autorités locales est vitale ; c’est-à-dire mettre en place un système de collecte et de ramassage quotidien qui permettra d’impulser le tourisme local et national en donnant un nouvel éclat à la côte et notre plage pourra retrouver son lustre d’antan», estime cet habitant.

Houari Larbi
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Désignation d'un élu pour expédier les affaires courantes de la commune de Bou Ismail
Par Agence | 23/02/2015 |

Un élu a été désigné pour gérer les affaires courantes de la commune de Bou Ismail (Tipasa), en application de la législation en vigueur, après la suspension du président de l'Assemblée populaire communale (P/APC) suite à sa condamnation à cinq ans de prison pour " faux et usage de faux de documents officiels ", a-t-on appris, lundi auprès des services de la wilaya.
La direction de la Règlementation et des affaires générales (DRAG) a décidé la " suspension " du P/APC, Smail Remla, jusqu'à la prononciation du jugement final dans l'affaire, dans laquelle il a été condamné, par la cour de Blida, a indiqué à l'APS, le chef du cabinet du wali, Mahfoudh Bouzertit.
Il a ajouté qu'un élu a été " désigné aux fin de gérer les affaires courantes de la commune, sans pour autant prendre la qualité de maire ".
Ce dernier va s'occuper de la gestion de la commune, " en attendant la prononciation du verdict jugement final, après l'étude du pourvoi en cassation ", a expliqué le responsable.
Selon ce responsable, ces mesures ont été prises afin de " débloquer la situation au sein de l'APC de Bou Ismail ", suite à la condamnation de son président, et au mouvement de solidarité qui s'en est suivi de la part des fonctionnaires de cette commune, qui ont observé un arrêt de travail, avant de reprendre leurs activités, hier dimanche.
Le P/APC de Bou Ismail (FLN), Smail Remla, actuellement en détention, avait fait l'objet d'une plainte, en janvier 2013, de membres de l'Assemblée l'accusant d'avoir " falsifié une délibération portant désignation de vice-présidents et de suppléants, sans les avoir consultés ", une délibération qui n'a pas été approuvée, en son temps, par les services de l'Administration. (Aps)

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Reprise de l'activité à l'APC de Bou Ismail après un arrêt de travail de trois jours
Par Agence | 22/02/2015 | 20:10
Les fonctionnaires de l'Assemblée populaire communale (APC) de Bou Ismail ont repris dimanche le travail après un arrêt de trois jours en solidarité avec le P/APC, condamné à cinq ans de prison pour " faux et usage de faux documents officiels ", a-t-on appris des services de la wilaya de Tipasa.
" Les fonctionnaires ont été convaincus de reprendre le travail et de laisser la justice suivre son cours, jugeant que l'intérêt du citoyen et de la commune est au dessus de toute considération ", a indiqué la même source, signalant la reprise du travail par une " grande partie des employés depuis jeudi après-midi ".
La direction de la Règlementation et des affaires générales (DRAG) a entamé dimanche des procédures pour débloquer la situation au sein de l'APC, optant pour une " formule légale " désignant un élu pour gérer les affaires de la collectivité, dans l'attente de la prononciation du jugement final dans l'affaire du maire, après examen du pourvoi en cassation qu'il a introduit, a précisé la même source.
Le P/APC de Bou Ismail (FLN), Smail Remla, actuellement en détention, avait fait l'objet d'une plainte de membres de l'Assemblée l'accusant d'avoir " falsifié une délibération portant désignation de vice-présidents et de suppléants, sans les avoir consultés ", une délibération qui n'a pas été approuvée, en son temps, par les services de l'Administration.(Aps)

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Informations de la Presse Nationale - Année 2014

À l'ouest d'Alger, des plages transformées en poubelles à ciel ouvert
10:26 mardi 28 juillet 2015 | Par Ghania Berki et Wiam Boulanouar | Actualité
Plages polluees à Bou Ismail by TSA-Tout sur l'Algérie



(© GHANIA BERKI ET WIAM BOULANOUAR - TSA)

Des déchets ménagers, des eaux usées, des déversements de produits chimiques… À Bousmail, une commune entre l'Ouest d'Alger et Tipaza, la plage n'est pas synonyme de vacances et de détente.
La Paillote est une plage connue de Bousmail qui s'étend sur plusieurs kilomètres. Depuis quelques années, elle ressemble à une poubelle à ciel ouvert. Des déchets sur la rive, au bord de la mer, et même dans l'eau au large.
Une situation qui dure depuis 10 ans
" Il n'y a même plus de poissons, même plus de sardines, cette plage est une déchetterie ", dénonce un pêcheur, assis sur sa moto en train de contempler les dégâts. Selon lui, la situation dure depuis une dizaine d'années, " quand les éboueurs viennent, ils prennent la moitié et jettent le reste dans l'eau. Je les ai vus faire ", dénonce-t-il.


(© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA)

Parmi les déchets, des bouteilles de vin et des canettes de bière. Elles sont jetées par centaines sur la plage, devenue l'endroit préféré des jeunes de la région quand ils veulent se changer les idées sans se préoccuper de l'environnement. En plus des déchets, un mélange d'odeur nauséabond se dégage de cette plage, l'air marin n'existe même plus.


(© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA)

Tonic pointé du doigt
" Cela fait 4 ans que je viens, et ça se dégrade chaque année. J'ai même peur de laisser mes enfants nager ", explique Mohamed Lamine, un habitant de Laghouat qui séjourne actuellement chez des amis. Mais cela n'empêche pas certains enfants et même des adultes de nager pour " se rafraîchir ", même s'ils affichent leur inquiétude concernant cette couleur blanche dans l'eau qui est synonyme de forte pollution.


(© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA)

En fait, ces produits chimiques seraient des liquides industriels provenant de la zone industrielle de Bousmail. Selon les habitants de la commune, c'est notamment l'entreprise Tonic qui déverse directement ses déchets dans une partie de cette plage interdite à la baignade.

Une plage nommée " Les égouts "
Un peu plus loin, Abdelkader, pêcheur et employé à la mairie, fréquente " Les égouts " depuis près de 55 ans. Cette petite plage a été baptisée par les Français du temps de la colonisation, car des déchets étaient déversés au large de la mer. " Rien n'a changé depuis l'indépendance. Sauf qu'aujourd'hui, même le bord de mer est infecté ", raconte-t-il. Il met en cause les autorités de la wilaya et de l'APC qui " ne font rien ". Selon lui, il faudrait " Rdjel, des vrais hommes qui s'occupent de cette commune qui va à la dérive ". Il affirme lui aussi que Tonic, et un Faïencier de la région, sont les causes principales de la détérioration des plages.

(© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA) (© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA)

" Personne ne veut arranger les choses "

Avec les temps, les habitants semblent résignés. Hamid est sur la plage pour un barbecue avec des amis. Pour déjeuner proprement, il a " nettoyé " l'endroit où il cuisine. Il explique que " personne ne veut tendre la main à l'autre pour arranger les choses ". Et d'ajouter : " Tout est dans l'éducation, des gens bien élevés ne jetteraient jamais des ordures dehors ".
Plus loin, un autre habitant confirme : " Même si nous nettoyons, il y aura toujours des personnes qui continueront de salir ".
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BOU ISMAÏL
Le front de mer dans tous ses états
Le Soir d'Algerie 26/05/2015

La ville de Bou Ismaïl, située à 45 kilomètres à l’ouest d’Alger, est une ville côtière, qui fait office de daïra regroupant près de 80 000 habitants installés dans une superficie de 25 kilomètres carrés, pour les quatre communes qui la composent, à l’instar de Khemisti, Aïn Tagouraït, Bou Haroun et le chef-lieu de la daïra de Bou ismaïl, qui dispose de près de 50 000 habitants.
La ville de Bou Ismaïl, jadis traversée par une voie ferrée, constituait la fierté de ses anciens habitants, à majorité coloniale, notamment avec ses avenues plantées de platanes et de bigaradiers, mais aussi par son boulevard Front de mer, juché sur une petite falaise, attenante à une plage familiale et qui fut, jadis, réservée aux seules familles coloniales. Cette ville comptait alors près de 8 000 habitants en 1958 selon le recensement de l’époque. Ainsi, ce boulevard Front de mer fut un véritable havre de paix, avec une large promenade piétonne qui, quoique remise en état, se trouve malheureusement aujourd’hui agressée par des déchets jetés le long de la plage qui y est attenante.
Bou Ismaïl reçoit des centaines de touristes étrangers dont certains viennent la visiter par nostalgie, à l’instar des pieds-noirs italiens, espagnols et français. Selon plusieurs riverains, outrés par cette agression de l’environnement «balancer ses ordures à côté ou sur la plage semble être devenu une seconde nature, geste provoquant la dégradation de notre littoral».
Plus grave est la déclaration d’un autre riverain qui affirme que «des monticules d’ordures sont visibles au bord ou dans la mer auxquels s’ajoutent les exutoires de canalisations d’égouts qui souillent l’eau de mer par des déchets plastiques et autres détritus charriés par le déversement des eaux et déchets ménagers. Des odeurs pestilentielles se dégagent alors de ces déchets», clame cet habitant.
Certains habitants de Bou Ismaïl dénoncent «l’incivisme de la population et un manque d’intérêt de la part de l’administration en charge des services publics de collecte et de ramassage des déchets».
D’autres riverains proposent des démarches et des solutions à ce problème : «Chaque citoyen devra participer à la propreté de la ville en accomplissant chaque jour le geste d’éliminer les déchets se trouvant dans son environnement et déposer les ordures dans les poubelles.»
Un autre interlocuteur estime que «l’implication des autorités locales est vitale ; c’est-à-dire mettre en place un système de collecte et de ramassage quotidien qui permettra d’impulser le tourisme local et national en donnant un nouvel éclat à la côte et notre plage pourra retrouver son lustre d’antan», estime cet habitant.

Houari Larbi
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Désignation d'un élu pour expédier les affaires courantes de la commune de Bou Ismail
Par Agence | 23/02/2015 |
Un élu a été désigné pour gérer les affaires courantes de la commune de Bou Ismail (Tipasa), en application de la législation en vigueur, après la suspension du président de l'Assemblée populaire communale (P/APC) suite à sa condamnation à cinq ans de prison pour " faux et usage de faux de documents officiels ", a-t-on appris, lundi auprès des services de la wilaya.
La direction de la Règlementation et des affaires générales (DRAG) a décidé la " suspension " du P/APC, Smail Remla, jusqu'à la prononciation du jugement final dans l'affaire, dans laquelle il a été condamné, par la cour de Blida, a indiqué à l'APS, le chef du cabinet du wali, Mahfoudh Bouzertit.
Il a ajouté qu'un élu a été " désigné aux fin de gérer les affaires courantes de la commune, sans pour autant prendre la qualité de maire ".
Ce dernier va s'occuper de la gestion de la commune, " en attendant la prononciation du verdict jugement final, après l'étude du pourvoi en cassation ", a expliqué le responsable.
Selon ce responsable, ces mesures ont été prises afin de " débloquer la situation au sein de l'APC de Bou Ismail ", suite à la condamnation de son président, et au mouvement de solidarité qui s'en est suivi de la part des fonctionnaires de cette commune, qui ont observé un arrêt de travail, avant de reprendre leurs activités, hier dimanche.
Le P/APC de Bou Ismail (FLN), Smail Remla, actuellement en détention, avait fait l'objet d'une plainte, en janvier 2013, de membres de l'Assemblée l'accusant d'avoir " falsifié une délibération portant désignation de vice-présidents et de suppléants, sans les avoir consultés ", une délibération qui n'a pas été approuvée, en son temps, par les services de l'Administration. (Aps)

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Reprise de l'activité à l'APC de Bou Ismail après un arrêt de travail de trois jours
Par Agence | 22/02/2015 | 20:10
Les fonctionnaires de l'Assemblée populaire communale (APC) de Bou Ismail ont repris dimanche le travail après un arrêt de trois jours en solidarité avec le P/APC, condamné à cinq ans de prison pour " faux et usage de faux documents officiels ", a-t-on appris des services de la wilaya de Tipasa.
" Les fonctionnaires ont été convaincus de reprendre le travail et de laisser la justice suivre son cours, jugeant que l'intérêt du citoyen et de la commune est au dessus de toute considération ", a indiqué la même source, signalant la reprise du travail par une " grande partie des employés depuis jeudi après-midi ".
La direction de la Règlementation et des affaires générales (DRAG) a entamé dimanche des procédures pour débloquer la situation au sein de l'APC, optant pour une " formule légale " désignant un élu pour gérer les affaires de la collectivité, dans l'attente de la prononciation du jugement final dans l'affaire du maire, après examen du pourvoi en cassation qu'il a introduit, a précisé la même source.
Le P/APC de Bou Ismail (FLN), Smail Remla, actuellement en détention, avait fait l'objet d'une plainte de membres de l'Assemblée l'accusant d'avoir " falsifié une délibération portant désignation de vice-présidents et de suppléants, sans les avoir consultés ", une délibération qui n'a pas été approuvée, en son temps, par les services de l'Administration.(Aps)

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Le Soir d'Algerie 23/12/2014
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2015/01/05/article.php?sid=172964&cid=4
BOU ISMAÏL

Le détecteur AFIS localise et identifie les voleurs
La cellule de communication de la police de Tipasa vient de révéler, dans un communiqué rendu public récemment, qu’un réseau de voleurs d’équipements de télécommunications et de téléphonie vient d’être démantelé à Bou Ismaïl, grâce au «système automatisé d'identification des empreintes digitales, AFIS».
Selon les informations fournies par la police, le réseau composé de deux délinquants, les dénommés A. H., 25 ans et B. N., 30 ans, spécialisés dans le vol avec effraction des magasins de revente de produits de téléphonie et de télécom a été démantelé à la suite de l’identification de leurs empreintes digitales, laissées sur les lieux du délit, et que l’électronique et l’informatique ont vite fait d’identifier, en recourant au système AFIS, qui utilise une base de données où se retrouvent les informations concernant les délinquants déjà fichés au niveau national.
Houari Larbi
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Le Soir d'Algerie 23/12/2014
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2014/12/22/article.php?sid=172442&cid=4
BOU-ISMAÏL
Démantèlement d'une bande de malfaiteurs
La cellule de communication de Tipasa vient de rendre public un communiqué faisant état du démantèlement d'une bande de malfaiteurs, qui s'attaquait aux citoyens de la ville de Bou-Ismaïl.
Selon ce communiqué, deux citoyens, les dénommés H. B., 23 ans et B. A. 25 ans, furent victimes d'une agression au sabre et au fusil à harpons, et furent délestés de leur argent.
Lors des recherches entreprises sur la base des portraits-robots et des photos d'identification des bandits, enregistrés dans la base de données nationale, la police s'est déplacée vers le nid des délinquants.
Une agglomération de la ville, suspectée d'abriter des délinquants, a été encerclée par la police, qui a mis à jour une bande de six suspects, porteurs de sabres, couteaux et fusils à harpons. A la vue de la police, cette bande s'est dispersée en courant pour se réfugier à l'intérieur des maisons.
Quatre suspects furent interceptés et arrêtés, tandis que les dénommés A. Z. 24 ans, originaire de Bou-Haroun et T. A. restent en fuite et sont toujours recherchés.
Houari Larbi
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1 Juin 2014
- Quotidien El Watan
Enterrement du comédien et metteur en scène Ouriachi Abdellah

http://www.elwatan.com/culture/enterrement-du-comedien-et-metteur-en-scene-ouriachi-abdellah-02-06-2014-259617_113.php

Parmi les évènements qui avaient marqué la journée pluvieuse du 1er juin 2014, nous citerons la disparition de hommes qui se sont sacrifiés pour la culture algérienne. La mort de la chanteuse Noura et celle du comédien Ouriachi Abdellah (68 ans).
L’enterrement de ce dernier a eu lieu à Bou-Ismail (Tipasa), en l’absence des responsables du secteur de la culture. Discrètement comme il avait vécu, Abdellah Ouriachi le metteur en scène, retraité du T.N.A avait été enterré. Les dernières années de sa vie avaient été difficiles. Ouriachi était comme cette bougie qui brisait l’obscurité jusqu’à sa disparition. Il a fondu. La mort a délivré le metteur en scène de ses souffrances.
Les proches et quelques membres de sa famille avaient vécu le calvaire depuis que Abdellah Ouriachi avait été happé par une terrible maladie. Cet ancien élève de l’école des arts dramatiques de Bordj-El-Kiffan, promotion 1970, aura été l’auteur de nombreuses œuvres théâtrales , Somoud et Mir Ou Rabi K’bir font partie des produits éternels du théâtre national.
Dynamique, beau et intelligent dans son travail, Abdellah Ouriachi avait participé en qualité de comédien à de nombreuses pièces théâtrales et des films. Abdellah Ouriachi avait sombré dans l’oubli et le mépris. L’action salutaire de l’ex. Ministre de la Culture, Khalida Toumi avait soulagé durant un moment Abdellah Ouriachi. C’est la publication d’un article de presse sur le défunt qui avait entrainé la réaction occasionnelle de l’ex.membre du gouvernement et de l’autorité de wilaya en 2007.
Abdellah Ouriachi rechute et continue à souffrir de son mal chez lui à Bou-Ismail Le MTK de Youcef Taouint lui avait rendu un hommage au mois de mai 2007, lors de l’organisation de la 14ème édition « El Fordja » à la salle des fêtes de Koléa. Ouriachi Abdellah n’a pu conserver que son regard avant qu’il ne soit transféré aux services des urgences de l’EPH de Koléa, pour perdre connaissance jusqu’à sa mort.
La foule anonyme qui l’avait accompagné à sa dernière demeure illustre parfaitement la place qu’occupe Abdellah Ouriachi dans le cœur des citoyens, notamment ceux l’ex.Castiglione et des villes environnantes. Officiellement, des festivités se préparent pour célébrer la journée de l’artiste. Les œuvres de Abdellah Ouriachi restent vivantes.

L'équipe du site bouismail.org présente ses plus sincères condoléances à toute la famille de Abdellah OURIACHI.


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23 Avril 2014 - Quotidien Liberté
Le Snapap dénonce les résultats d’un concours de recrutement à Bou-Ismaïl
Par : B. BOUZAR
Le représentant du syndicat affilié à la Snapap dans la commune de Bou-Ismaïl dénonce les résultats du concours d'admission à 20 postes qui a eu lieu en décembre 2013. Ces postes sont : attaché d'administration, inspecteur de l’administration, intendant, chauffeurs, femmes de ménage. Les parents des candidats ont crié au scandale pour manque de transparence et le rejet des recours introduits. Selon le représentant de la section syndicale, les élus de l'APC ont violé l'article 20/194 en date du 25 mai 2012 portant organisation des concours et examens dans le recrutement dans l’administration publique. Selon la même source, les candidats reçus ont été convoqués pour signer le PV d'installation sans affichage des listes des reçus. Contacté par nos soins, un chef de service de l’APC nous a affirmé que la liste des candidats retenus sera affichée durant cette semaine. Et d'ajouter que la liste des candidats reçus a été avalisée par la direction de la fonction publique de la wilaya de Tipasa après un audit. Par ailleurs, la liste du concours d’accès sur titre pour les 3 postes à pourvoir entre intendants et sous-intendants au niveau de la direction de l’éducation de la wilaya de Tipasa, où 200 candidats ont participé au concours depuis plus de 3 mois, n'a pas été affichée. Selon une source sûre, ce retard s’explique par un problème entre la direction de la fonction publique et la direction de l’éducation concernant la notation finale de l'oral, de l'ancienneté des diplômes et la moyenne des candidats. Contacté par nos soins, un représentant de la direction de l’éducation de la wilaya a refusé de s'exprimer sur la date de l'affichage des listes des candidats retenus
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Dimanche, 20 Avril 2014 09: Quotidien Liberté

Cela se passe à Bou-Ismaïl (Tipasa)
Depuis dix-neuf ans, elle est femme de ménage dans le cadre de l’emploi des jeunes
Par : Rubrique Radar
On croyait que l’esclavage avait disparu en Algérie alors que les dispositifs même d’aide à l’emploi génèrent parfois des situations kafkaïennes qui y ressemblent en tous points de vue. Jugeons-enMme B. Z. M. est une femme de ménage, employée à la polyclinique de Bou-Ismaïl dans le cadre de l’emploi des jeunes, et ce, depuis… 1995. Non seulement dix-neuf ans après, l’État n’a toujours pas été en mesure de procurer un vrai poste d’emploi à cette mère de famille qui aura passé ainsi plus de la moitié de sa vie en emploi des jeunes, mais celle-ci est, en outre, obligée d’être présente sur les lieux de travail de 8h à 16h, et cela, contre un pécule qui ne dépasse pas… 5 450 DA.

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Informations de la Presse Nationale - Année 2012/2013

Tipasa : un colis de plus de 30 kg de kif traité retrouvé sur une plage de Bou Ismail

Par La Rédaction | 11/11/2013 | 18:52

Un colis de plus de 30 kg de kif traité, rejeté par la mer, a été retrouvé lundi sur une plage de Bou Ismail (Tipasa), selon la la cellule de communication de la Sûreté de wilaya.
Emballée minutieusement dans un grand paquet, cette quantité de drogue a été découverte au niveau de la plage du quartier de Sidi Boumaza de Bou Ismail par un citoyen, qui en a informé la Police judiciaire de la Sûreté de daira, laquelle a procédé à la récupération de ce colis de stupéfiants, est-il précisé de même source.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les tenants et aboutissant de cette affaire, “qui ne serait pas sans lien avec les coups durs portés aux barons de la drogue par les forces de la sécurité nationale, notamment à la frontière ouest du pays”, a-t-on fait observer.
Selon l’Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie, le trafic de drogue prend ces derniers temps “une ampleur inquiétante” , comme le montre son bilan des huit (8) derniers mois de l’année en cours faisant état de la saisie , à l’échelle nationale de plus de 127 quintaux de résine de cannabis.( Aps


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LIBERTE: Jeudi, 08 Novembre 2012,
Par : Rédaction Nationale
http://www.liberte-algerie.com/actualite/page-2
Bou-ismaïl (Tipasa): Une opération de démolition d’habitations illicites empêchée

Une opération de démolition, hier, d’une quarantaine d’habitations illicites de la cité El- Amaria de la commune de Bou-Ismaïl (Tipasa) a été reportée après une négociation entre leurs propriétaires et les autorités locales, a-t-on constaté.
Une tentative de démolition des habitations avait donné lieu auparavant à des échauffourées entre leurs propriétaires et les forces de l’ordre qui ont dû faire usage de bombes lacrymogènes pour les disperser. À l’issue d’une entrevue entre les autorités locales et les représentants des familles habitant dans ces logements construits illicitement, il a été convenu de “réétudier, au cas par cas, l’ensemble des dossiers des concernés en vue de procéder à leur régularisation”.
Toutefois, les locataires des habitations illicites érigées sur le site après 2007 “sont exclus du bénéfice de cette opération de régularisation, et verront leurs habitations démolies, conformément aux dispositions de la loi en vigueur”, ont précisé les responsables locaux.

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Le Soir d'Algerie: Jeudi, 08 Novembre 2012, Par : Larbi Houari
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2012/11/08/article.php?sid=141189&cid=4
BOU ISMAÏL: Les voleurs étaient les voisins de la victime
Au début de la semaine passée, à 21h, le dénommé T. B., résidant à Bou Ismail, s’est présenté au commissariat de police de la ville pour déposer plainte pour un vol dont a été l’objet l’appartement de ses parents qui étaient absents et qui se trouvaient à La Mecque, pour un pèlerinage. Le fils des victimes du vol avait déclaré, que l’appartement était vide de 17 h jusqu’à son retour à 20h30. Ce fut à ce moment-là, qu’il avait constaté l’effraction de la porte d’entrée ainsi qu’une vitre brisée. La police de Bou Ismail a immédiatement diligenté une enquête. Sur les lieux du délit, la police avait découvert une porte fracturée et une vitre brisée portant de grandes taches de sang, qui, selon les policiers, seraient dues à une grande plaie. Les investigations se sont orientées vers les urgences hospitalières, où en effet, une personne âgée de 23 ans a été admise et soignée pour une large plaie à la main. La tâche des policiers devint aisée, car le malfaiteur dont les caractéristiques sanguines furent identiques aux taches de sang trouvées dans l’appartement «visité» correspondaient, et de ce fait fut facilement confondu. Le voleur avoua son délit et dénonça, son frère qui l’a accompagné dans son forfait. Il s’avère que ces malfrats, deux frères âgés de 23 et 21 ans, étaient les voisins immédiats des victimes. Cela étonna leurs parents, qui selon nos témoins, ne s’étaient jamais imaginés que leur progéniture allait s’attaquer à leurs paisibles voisins qui se trouvaient de surcroît à la Mecque. Le montant déclaré du vol de 80 millions n’a pu être récupéré, car une grande quantité d’or poinçonné fut écoulée au quart de son prix réel par ces malfaiteurs dans les souks d’Alger («Dlala »). Cependant la police a pu récuper 35 millions de centimes, un micro-portable, des téléphones portables, une gourmette et des boucles d’oreilles. Présentés avant-hier devant le procureur de la République près le tribunal de Koléa, les deux malfrats ont été placés sous mandat de dépôt, à la prison de Koléa.

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Le Soir d'Algerie: 12 Mars 2012, Par : Larbi Houari

Actualités : BOU ISMAÏL:
Démantèlement d’un réseau de charlatans
La dénommée M. H., sans instruction, âgée de 48 ans, demeurant à Bou Ismaïl, est notoirement connue dans son quartier comme une personne qui reçoit quotidiennement des «clientes» qui sollicitent ses services de sorcellerie et de divination en vue de solutionner des litiges matrimoniaux, des problèmes de santé et tant d’autres préoccupations familiales. La semaine passée, les habitants du quartier où réside cette dame, outrés et gênés par ces affluences quotidiennes dans ce «cabinet particulier», sis dans un immeuble populaire de Bou Ismaïl, ont déposé plainte au niveau de la Sûreté de daïra de Bou Ismaïl. Agissant sur autorisation et mandat de perquisition du procureur de la République, les policiers ont procédé à une descente et à des investigations au niveau de ce lieu d’exercice de sorcellerie. Selon les policiers, la découverte est étonnante. Trois personnes furent appréhendées sur les lieux. Il s’agit de Mlle A. O. 23 ans, universitaire, résidant à Bou Ismaïl, B. H. 28 ans résidant à Hadjout et enfin Mme A. F., divorcée, femme de ménage, résidant à Fouka. Selon les informations qui nous ont été communiquées, les «clientes», à qui cette dame faisait payer ses services à prix d’or, ont indiqué qu’elles étaient là pour que la dame «experte en sorcellerie et divination» leur prédise le retour de l’ami ou du mari qui les a quittées en recourant à l’incantation, soit par le recours à la recette du «plomb fondu», soit par un exorcisme particulier et spécial sur les sous-vêtements de l’être aimé. Pour ceux qui ont perdu leur emploi, «l’experte» rassure ses clientes en leur prédisant d’heureuses nouvelles à condition d’utiliser des potions magiques et de porter sur soi une précieuse amulette, fruit d’incantations cabalistiques porte-bonheur. La descente et la perquisition de la police ont permis aussi de découvrir plusieurs morceaux de plomb, des sous-vêtements d’hommes, des bougies, plusieurs bouteilles de fleurs d’oranger, des épices rares et des cadenas. Présentées récemment au parquet de Koléa, ces personnes ont été accusées de complicité et d’exercice de sorcellerie. Elles ont été citées à comparaître à la prochaine audience, tandis que la propriétaire des lieux fut placée sous mandat de dépôt à la prison de Boufarik.

Larbi Houari

Informations de la Presse Nationale - Année 2010/2011

DNA: Journal on ligne-Jeudi, 14 Avril 2011, DNA
Les travailleurs de Tonic Emballage agitent la menace d’une grève illmitée

« Nous avons déposé un préavis d’une grève qui prendra fin le dimanche17 avril à 08h et ce après avoir épuisé toutes les voies pour aboutir à une solution qui arrange et les travailleurs et l’administration», a indiqué à DNA M.Arkat représentant des travailleurs.

Les travailleurs de la SARL Ouate industrie, composée des unités metso, converting et récupération, réclament « la titularisation de tous le personnel contractuels vu la non conformité des contrats de travail établis par les services de la direction des ressources humaines, en application du article 14 du code de travail et l’augmentation du salaire de base de tous les travailleurs de la SARL Ouate industrie », selon les explications de M. Arkat.

Ils demandent également « l’équité salariale pour les travailleurs occupants le même poste avec l'application de l’article 84 du code du travail et l’application du régime indemnitaire avec effet rétroactif ».

L’administration de l’entreprise a signifié aux représentants des travailleurs qu’elle est dans l’incapacité de procéder à des augmentations salariales en raison « de la faillite de la société et de sa mise sous séquestre judiciaire», selon le représentant des travailleurs.

Le personnel n’est pas convaincu par les arguments de l’administration. « Les travailleurs qui triment jour et nuit sont productifs. Ils ne sont pas convaincus avec ce genre d’arguments. Eux, ils exigent des augmentations de leurs salaires. Les problèmes de l’entreprise ne les concernent pas », explique-t-il, rappelant que le personnel des trois unités n’a pas bénéficié d’aucune augmentation depuis 2006, date de lancement de la Sarl Ouate industrie.

Tonic Emballage avait contracté au début des années 2000 le plus gros crédit de l’histoire en Algérie, plus de 80 milliards de dinars (1,1 milliard de dollars) dont 65 milliards engagés par la seule Badr Bank. Objectif ? Réaliser une filière intégrée de production de papier, de dérivés, de papier tissu et d’emballages de synthèse.

Considéré comme un « géant » de l’industrie papetière algérienne, le groupe Tonic, composé de 11 sociétés à responsabilité limitée, s’est retrouvé après quelques années d’activité englué dans des problèmes de surendettement et d’incapacité de remboursement.

Avec l’incarcération en mai 2005 de son PDG Abdelghani Djerrar, pendant dix-huit mois, le mastodonte périclite. En juin 2009, le tribunal de commerce de Blida a prononcé sa mise en faillite, ouvrant la voie à une possible nationalisation.

----------------------------------------------------------------------------------------------------------El Watan: le 17.03.11
Séisme à Bou Ismaïl (Tipasa) : Pas de victimes ni dégâts matériel

Aucune victime ni dégâts matériels ne sont à déplorer suite à la secousse tellurique ressentie, hier après-midi, à Bou Ismaïl (Tipasa), selon la Protection civile. La secousse, faiblement ressentie, n’a fait ni victimes a indiqué à l’APS la Protection civile, précisant qu’aucun mouvement de panique n’a été enregistré parmi la population. Selon le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG), la secousse tellurique, d’une magnitude de 3,2 sur l’échelle ouverte de Richter, a été enregistrée à 15h28. L’épicentre de la secousse a été localisé à 9 km au nord-ouest de la localité de Bou Ismaïl, selon le CRAAG.
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A la une: TSA du 01/03/2011:

Tentatives d’immolation, APC saccagée et route bloquée
Samia Amine

C’est afin de protester contre le malle chômage et la malque les habitants de Bousmaïl (Tipaza) ont réinvesti les rues pour faire entendre leurs revendications. En effet, selon notre source sur place, deux habitants ont tenté, ce mardi 1 mars, de s’immoler par le feu tandis que le siège de l’APC de Bousmaïl a été complètement saccagé et que la route principale de cette commune est toujours bloquée par les manifestants.

Dimanche 27 février, des centaines de jeunes ont bloqué la route principale reliant Bousmaïl à Koléa pour protester contre les nombreuses promesses non tenues du président d’APC.

«président de l’APC est apparemment injoignable. Les agents de police font seuls face aux protestataires», précise notre source. Et d’ajouter«se comportent correctement avec les gens… avec beaucoup de retenue. Ils ont fait appel aux sages pour calmer les esprits».

En janvier dernier, les violentes émeutes qui ont éclaté dans la région ont fait plusieurs blessés et un mort.

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A la Une: TSA du 28/02/2011

Bou Ismail : Le maire leur délivre de faux documents, des chômeurs bloquent les rues de la ville .

Des centaines de jeunes chômeurs ont bloqué dimanche 27 février la route principale desservant la petite ville de Bou Smail à Koléa dans la wilaya de Tipaza, 50 Km à l’Ouest d’Alger, a appris DNA auprès de Amine Menadi, membres de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie, aile de la société civile. Les protestataires entendaient contester le maire de la ville qui n'avait pas tenu ses promesses. Celui-ci s'était engagé à fournir des postes de travail, des locaux commerciaux et des terrains.

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Confinées au tout début dans les hauteurs de la ville, les barricades dressées par les jeunes protestataires ont gagné le centre-ville aux environs de 18 H, raconte Amine, joint par téléphone. « Un policier respecté a invité trois représentants de jeunes chômeurs pour aller discuter avec le maire. Insatisfaits des réponses du maire, les jeunes ont décidé de radicaliser leur mouvement en bloquant les artères de la ville », ajoute notre interlocuteur.

A l’origine de cette poussée de colère, les promesses non tenues par le président de l’APC de cette ville côtière. « Après le mort d’un manifestant en janvier dernier et le suicide de deux jeunes chômeurs, le maire, pour calmer les jeunes, leur a promis des postes d’emplois, des locaux commerciaux et des terrains », raconte Amine. Et d’ajouter : « Il aurait donné même des documents à certains. Une fois à la wilaya, ces jeunes ont été surpris d’entendre que les documents que leur a délivrés le maire n’étaient pas valables ».

Irrités, les jeunes chômeurs et d’autres malheureux candidats à l’Ansej (Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes), ont préféré bloquer la voie publique.

Curieusement, aucune présence des forces de l’ordre n’est visible, selon Amine Menadi qui dit que des renforts de CRS auraient été dépêché vers la ville de Cherchell ou un mouvement similaire a été signalé.

Le 7 janvier dernier, Akriche Abdelfattah, 32 ans, agent de sécurité à Nafyal, a été tué à Bou Smaïl dans des affrontements avec la police. Abdelfattah serait décédé après avoir reçu une grenade lacrymogène en pleine figure.

Ce fut le début des émeutes généralisées qui ont touché plusieurs régions pays. Cinq personnes y avaient trouvé la mort.


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Emeutes à Bou-Ismail

Akriche Abdelfattah

Actualités : UN JEUNE MORT À BOU-ISMAÏL
Qui a tué Abdelfateh ?

Au quartier El- Louz, la tension était perceptible. La mort dans des circonstances inconnues d'Akriche Abdelfateh a attisé la colère de la population. Agé de 32 ans, ce jeune exerçait en tant qu'agent de sécurité à Naftal.
Irane Belkhedim-Alger (Le Soir) - Cela s'est passé vendredi soir aux environs de 22h. Des affrontements ont éclaté dans la ville de Bou-Ismaïl, du côté du marché, rue des Arabes, entre jeunes et forces de l'ordre. "Nous avions entendu des coups de feu dehors, nous nous sommes inquiétés. Abdelfateh allait se coucher quand je lui ai demandé d'aller chercher son frère âgé de 20 ans", raconte sa sœur Ilham, les larmes aux yeux. Abdelfateh n'est plus revenu. Grièvement blessé, il a été évacué à l'hôpital. "Des voisins nous ont appelés pour nous annoncer la nouvelle. Je suis sortie voir, pieds nus", raconte son autre sœur, les yeux gonflés, pour avoir pleuré toute la nuit. "Abdelfateh est mort sur le coup et ils n'ont pas voulu nous informer. Les autorités ont voulu étouffer l'affaire. Il a été tué par balles, il a reçu une balle dans l'œil et des témoins l'ont vu", ajoute Ilham. D'autres jeunes rapportent une version différente. "Abdelfateh a reçu une balle dans la tête. J'ai vu le corps, il avait l'épaule entachée de sang. Il est resté plus d'une heure sur le sol, avant d'être évacué", confie un jeune. Pour l'heure, la famille n'a pas été autorisée à voir le corps et à le récupérer. "Un gendarme est venu ce matin accompagné d'un imam et du chef de daïra pour chercher mon père. Une enquête a été ouverte. Nous voulons récupérer le corps de Abdelfateh et l'enterrer. Nous voulons faire notre deuil", lâche la sœur aînée, venue à notre rencontre dès qu'elle a appris que nous étions sur place. La famille de la victime habite au quartier El-Louz. Ses amis, voisins et parents, sont venus assister aux funérailles, présenter leurs condoléances et en guise de solidarité. "Mon fils est sorti et n'est plus revenu mon Dieu ! Il me manque ! Ils mentent quand ils disent qu'il est parti piller les biens de l'Etat ! Ce n'est pas vrai ! Nous lui avons demandé d'aller ramener son frère, il était là, chez lui !", crie sa mère, une femme âgée d'une soixantaine d'années. Ses yeux paraissent épuisés car elle n'a pas fermé l'œil de la nuit. La douleur la ronge comme tout le reste de la famille. "Mon fils est mort et vous me demandez comment je me porte ! Je ne pardonnerai jamais à ceux qui l'ont tué ! Que les autorités viennent à notre rencontre, qu'elles nous disent la vérité. Mon fils est mort, ce n'est pas un chien qui est mort !", dit-elle, tout en hurlant sa douleur. Une jeune fille s'approche d'elle et la serre dans ses bras puis les deux femmes s'effondrent en larmes. "Ma mère est malade. Elle suit des séances d'hémodialyse en plus d'être diabétique et hypertendue. C'est trop pour elle. Nous souhaitons récupérer le corps de Abdelfateh pour l'enterrer. Que l'on ne nous dise pas que ce n'est pas possible !", ajoute Ilham. La tristesse s'est mêlée à la peur et à la colère. Des femmes en larmes viennent à notre rencontre. "Les jeunes n'ont rien fait et ils leur ont tiré dessus ! Ce n'est pas possible ! Mon fils a vu Abdelfateh mourir, le sang giclait de ses yeux, de sa bouche et de son nez. Le corps de mon fils était tâché de son sang. Ici, les policiers abusent de leur pouvoir", affirme sa tante. "Les jeunes n'ont rien cassé. Pourquoi les ont-ils attaqués ! Les policiers sont injustes", ajoute-t-elle.
I. B.


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LES BRIGADES ASSIÈGENT LES QUARTIERS DE BOU-ISMAÏL


"Nous en avons ras-le-bol de survivre"
Hier en début d'après-midi, des véhicules antiémeutes ont encerclé les quartiers populaires de Bou- Ismaïl. Un semblant de calme après une nuit agitée.
Juste à l'entrée du quartier de "L'abattoir", les traces des affrontements sont encore visibles. Des pierres et des ordures jonchent le sol. Les gaz lacrymogènes a rendu l'atmosphère irrespirable. La tension reste vive. Ça risque "d'éclater" à tout moment. La nouvelle de la mort de Abdelfateh a fait le tour de la ville. Les brigades antiémeutes, prêtes à donner l'assaut, ont encerclé les quartiers à risque. A quelques mètres, des groupes de jeunes se sont constitués. Après une nuit agitée, le calme est revenu dans la matinée. Un semblant de calme après une nuit agitée. "Nous vivons entre un abattoir et un cimetière, c'est une tombe ! Le quartier porte bien son nom", lâche un jeune, avec ironie. La colère et la tristesse se lisent dans les yeux de tous ceux que nous abordons. Jeunes et moins jeunes sont blasés et ne cachent pas leur désespoir. "Il y a un mort et un blessé", dit-on. Les constructions du quartier sont collées les unes aux autres. La plupart sont inachevées, sans peinture, elles exhalent marginalisation et misère. "Ce n'est pas seulement l'augmentation des prix qui est derrière ces évènements. C'est le ras-le-bol général ! Nous en avons marre ! Nous survivons, ici !" "Ce sont les forces antiémeutes qui nous provoquent, notre réaction est une réponse à leurs provocations. " Ils parlent tous en même temps. Chômage, portes fermées de l'administration, exclusion, absence de l'Etat, silence des officiels, corruption. La liste est interminable. "Les jeunes sont découragés, ils en ont assez ! Ni travail, ni logement, aucun avenir en perspective ", lâche un père de famille. "La semaine passée, j'ai été à la mairie pour retirer mon extrait de naissance. La préposée au guichet m'a dit de revenir dans trois jours ! Que je n'avais pas de chance, car mon extrait n'était pas prêt ! Je n'ai quand même pas demandé un visa !" raconte un autre écœuré. "Les Chinois ont été ramenés pour travailler ici et touchent des salaires plus importants que les nôtres !"


Source: http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2011/01/09/article.php?sid=111099&cid=2
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Après M’Sila, un deuxième manifestant tué à Bousmail

Les émeutes commencent à prendre une tournure dramatique. Au quatrième jour des manifestations contre la cherté de la vie, deux manifestants ont déjà trouvé la mort et plusieurs dizaines blessés. Un manifestant de 32 ans est mort vendredi 7 janvier lors d'une manifestation à Bou Ismaïl, dans la wilaya de Tipaza, selon l’agence AFP qui cite des sources médicales.

Akriche Abdelfattah serait décédé après avoir reçu une grenade lacrymogène en pleine figure, selon cette source médicale. Son corps a été transporté à la morgue de la petite ville de Qolea, à un vingtaine de kilomètres d'Alger, selon cette même source.


Source: http://www.tsa-algerie.com/divers/apres-m-sila-un-deuxieme-manifestant-tue-a-bousmail_13632.html
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Trois morts. Tel est le bilan encore provisoire des émeutes qui se sont éclatées depuis quatres jours à travers plusieurs régions du pays.
Par ailleurs, un manifestant de 32 ans est mort vendredi lors d'une manifestation à Bousmaïl, dans la wilaya de Tipaza , dans des affrontements avec la police, a appris l'agence afp samedi 08 janvier de source médicale.
Source:http://www.elwatan.com/une/les-emeutes-ont-deja-fait-trois-morts-08-01-2011-106304_108.php
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Emeutes en Algérie
Deux morts et 400 blessés, selon Daho Ould Kablia
Le ministre de l'Intérieur Daho Ould Kablia a confirmé la mort de deux manifestants, un à M'sila et l'autre à Bousmail, dans les émeutes qui secouent le pays depuis mercredi, dans un entretien samedi à la radio Chaine III. Il a ajouté que 300 blessés ont été enregistrés dans les forces antiémeutes et 100 blessés parmi les manifestants.

Source:http://www.tsa-algerie.com/divers/deux-morts-et-400-blesses-selon-daho-ould-kablia_13635.html
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Lecteur: wildfire_dz@hotmail.com
8 Janvier 2011 La manifestant mort la nuit du Vendredi le 07/01/2011 après avoir été blessé par une bombe lacrymogène s\'appellerait donc AbdelFettah Akriche. Agé de 32 ans, il a été hospitalisé vers Koléa puis à l\'hopital de Frantz fanon à Blida. La cause de la mort de AbdelFettah n\'est pas encore officiel. Certains voisins affirment qu\'il a été tuer par balle. Allah Yarahmou. Inna lillah wa ina ilayhi raji3oun


Bonjour Je viens de poster un article dans \"Derniere Info\" Et j\'affirme bien ce que je dit car je suis un des voisins et tout prés (a 30m de la gendarmerie) et j\'ai été temoin
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9 Janvier 2011: Le Soir d'Algerie
Actualités : UN JEUNE MORT À BOU-ISMAÏL
Qui a tué Abdelfateh ?

Akriche Abdelfattah

Au quartier El- Louz, la tension était perceptible. La mort dans des circonstances inconnues d'Akriche Abdelfateh a attisé la colère de la population. Agé de 32 ans, ce jeune exerçait en tant qu'agent de sécurité à Naftal.
Irane Belkhedim-Alger (Le Soir) - Cela s'est passé vendredi soir aux environs de 22h. Des affrontements ont éclaté dans la ville de Bou-Ismaïl, du côté du marché, rue des Arabes, entre jeunes et forces de l'ordre. "Nous avions entendu des coups de feu dehors, nous nous sommes inquiétés. Abdelfateh allait se coucher quand je lui ai demandé d'aller chercher son frère âgé de 20 ans", raconte sa sœur Ilham, les larmes aux yeux. Abdelfateh n'est plus revenu. Grièvement blessé, il a été évacué à l'hôpital. "Des voisins nous ont appelés pour nous annoncer la nouvelle. Je suis sortie voir, pieds nus", raconte son autre sœur, les yeux gonflés, pour avoir pleuré toute la nuit. "Abdelfateh est mort sur le coup et ils n'ont pas voulu nous informer. Les autorités ont voulu étouffer l'affaire. Il a été tué par balles, il a reçu une balle dans l'œil et des témoins l'ont vu", ajoute Ilham. D'autres jeunes rapportent une version différente. "Abdelfateh a reçu une balle dans la tête. J'ai vu le corps, il avait l'épaule entachée de sang. Il est resté plus d'une heure sur le sol, avant d'être évacué", confie un jeune. Pour l'heure, la famille n'a pas été autorisée à voir le corps et à le récupérer. "Un gendarme est venu ce matin accompagné d'un imam et du chef de daïra pour chercher mon père. Une enquête a été ouverte. Nous voulons récupérer le corps de Abdelfateh et l'enterrer. Nous voulons faire notre deuil", lâche la sœur aînée, venue à notre rencontre dès qu'elle a appris que nous étions sur place. La famille de la victime habite au quartier El-Louz. Ses amis, voisins et parents, sont venus assister aux funérailles, présenter leurs condoléances et en guise de solidarité. "Mon fils est sorti et n'est plus revenu mon Dieu ! Il me manque ! Ils mentent quand ils disent qu'il est parti piller les biens de l'Etat ! Ce n'est pas vrai ! Nous lui avons demandé d'aller ramener son frère, il était là, chez lui !", crie sa mère, une femme âgée d'une soixantaine d'années. Ses yeux paraissent épuisés car elle n'a pas fermé l'œil de la nuit. La douleur la ronge comme tout le reste de la famille. "Mon fils est mort et vous me demandez comment je me porte ! Je ne pardonnerai jamais à ceux qui l'ont tué ! Que les autorités viennent à notre rencontre, qu'elles nous disent la vérité. Mon fils est mort, ce n'est pas un chien qui est mort !", dit-elle, tout en hurlant sa douleur. Une jeune fille s'approche d'elle et la serre dans ses bras puis les deux femmes s'effondrent en larmes. "Ma mère est malade. Elle suit des séances d'hémodialyse en plus d'être diabétique et hypertendue. C'est trop pour elle. Nous souhaitons récupérer le corps de Abdelfateh pour l'enterrer. Que l'on ne nous dise pas que ce n'est pas possible !", ajoute Ilham. La tristesse s'est mêlée à la peur et à la colère. Des femmes en larmes viennent à notre rencontre. "Les jeunes n'ont rien fait et ils leur ont tiré dessus ! Ce n'est pas possible ! Mon fils a vu Abdelfateh mourir, le sang giclait de ses yeux, de sa bouche et de son nez. Le corps de mon fils était tâché de son sang. Ici, les policiers abusent de leur pouvoir", affirme sa tante. "Les jeunes n'ont rien cassé. Pourquoi les ont-ils attaqués ! Les policiers sont injustes", ajoute-t-elle.
I. B.
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LES BRIGADES ASSIÈGENT LES QUARTIERS DE BOU-ISMAÏL
"Nous en avons ras-le-bol de survivre"
Hier en début d'après-midi, des véhicules antiémeutes ont encerclé les quartiers populaires de Bou- Ismaïl. Un semblant de calme après une nuit agitée.
Juste à l'entrée du quartier de "L'abattoir", les traces des affrontements sont encore visibles. Des pierres et des ordures jonchent le sol. Les gaz lacrymogènes a rendu l'atmosphère irrespirable. La tension reste vive. Ça risque "d'éclater" à tout moment. La nouvelle de la mort de Abdelfateh a fait le tour de la ville. Les brigades antiémeutes, prêtes à donner l'assaut, ont encerclé les quartiers à risque. A quelques mètres, des groupes de jeunes se sont constitués. Après une nuit agitée, le calme est revenu dans la matinée. Un semblant de calme après une nuit agitée. "Nous vivons entre un abattoir et un cimetière, c'est une tombe ! Le quartier porte bien son nom", lâche un jeune, avec ironie. La colère et la tristesse se lisent dans les yeux de tous ceux que nous abordons. Jeunes et moins jeunes sont blasés et ne cachent pas leur désespoir. "Il y a un mort et un blessé", dit-on. Les constructions du quartier sont collées les unes aux autres. La plupart sont inachevées, sans peinture, elles exhalent marginalisation et misère. "Ce n'est pas seulement l'augmentation des prix qui est derrière ces évènements. C'est le ras-le-bol général ! Nous en avons marre ! Nous survivons, ici !" "Ce sont les forces antiémeutes qui nous provoquent, notre réaction est une réponse à leurs provocations. " Ils parlent tous en même temps. Chômage, portes fermées de l'administration, exclusion, absence de l'Etat, silence des officiels, corruption. La liste est interminable. "Les jeunes sont découragés, ils en ont assez ! Ni travail, ni logement, aucun avenir en perspective ", lâche un père de famille. "La semaine passée, j'ai été à la mairie pour retirer mon extrait de naissance. La préposée au guichet m'a dit de revenir dans trois jours ! Que je n'avais pas de chance, car mon extrait n'était pas prêt ! Je n'ai quand même pas demandé un visa !" raconte un autre écœuré. "Les Chinois ont été ramenés pour travailler ici et touchent des salaires plus importants que les nôtres !"

Source: http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2011/01/09/article.php?sid=111099&cid=2
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El Watan
9 Janvier 2011

Le bilan des affrontements entre les jeunes manifestants et les forces de sécurité fait état d'un mort par balle du côté des manifestants au niveau de la localité côtière de Bou Ismaïl. Néanmoins, si la mort de ce citoyen, âgé de 33 ans, a été confirmée, il reste à en déterminer l'origine. Aucune source officielle ne voulait s'aventurer à dévoiler les circonstances précises de la mort de ce manifestant.

Cela explique l'évacuation de sa dépouille vers le CHU de Blida pour y subir une autopsie. Par ailleurs et toujours dans la même localité, une vingtaine de policiers ont été grièvement blessés. Un jeune policier a été atteint en plein visage, subissant un grave traumatisme facial. "C'était énorme, ce fut une guérilla urbaine indescriptible, les émeutiers avaient imposé leur loi dans les quartiers populaires et le centre-ville", affirment des citoyens.
Les affrontements qui s'étaient produits jusqu'à 2h entre les policiers et les manifestants ont par la suite dégénéré sur des actes d'une très rare violence. Des groupes constitués de très jeunes manifestants ont commencé à s'organiser dès la tombée de la nuit, pour dérouter les forces de l'ordre. Les éléments nouveaux qui sont apparus sont l'utilisation par les émeutiers de plusieurs armes blanches (barres de fer, épées, couteaux de boucher, cocktails Molotov). Cela explique le haut degré de violence et le nombre croissant des victimes.
Des émeutiers utilisent les cocktails Molotov pour s'attaquer aux forces de l'ordre et aux biens publics.
Hier, nous avons appris qu'une équipe de l'ENTV sillonnait quelques quartiers de Bou Ismaïl afin de permettre aux citoyens de s'exprimer.

En début d'après-midi, l'enterrement de la victime de la nuit précédente n'est toujours pas confirmé.
Les forces de sécurité sont mobilisées pour éviter les débordements. Les responsables de la police et de la Gendarmerie nationale ont noué des contacts avec les notables des villes marquées par la violence pour les sensibiliser sur les conséquences de tout dérapage.

Source: http://www.elwatan.com/evenement/un-deces-et-des-blesses-graves-09-01-2011-106422_115.php
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Liberte
9 Janvier 2011

Bou-Ismail (Tipasa)
La victime "ne participait pas" aux émeutes
Par : Nabila Afroun


"Je veux mon fils, je veux l'enterrer afin que ma colère se taise et que je puisse faire mon deuil. D'abord, on nous affame et maintenant, on tue mon enfant", dit Mme Akriche Fatiha dans un sanglot. Mère de six enfants, elle vient de perdre son fils Abdelfateh, touché par une balle lors des émeutes de vendredi dernier. "Il n'a rien fait, il a disparu trop tôt", ajoute-t-elle. L'ambiance est plutôt morose, un silence pesant règne dans le quartier Bichou sur les hauteurs de Bou-Ismaïl, dans la wilaya de Tipasa. De temps en temps, le silence est entrecoupé par des chuchotements de voisins venus présenter leurs condoléances à la famille Akriche, parfois aussi par des cris ou des sanglots des membres de la famille. Une seule version des faits se répète à longueur de journée. "Il a été tué. Qu'on ne me raconte pas de salades, c'est le plus sage de mes enfants", nous dira Hassen Akriche, le père. En réponse aux déclarations officielles, il a tenu a préciser que son fils n'a pas été retrouvé mort dans la rue. "Il est mort dans les bras de son jeune frère, Djelloul", martèle-t-il. Selon les témoignages de sa famille, la victime, âgée de 32 ans, qui exerçait comme agent de sécurité à l'entreprise nationale Naftal, n'avait rien à voir avec les émeutes de vendredi. Il est sorti récupérer son jeune frère qui n'était pas encore rentré. C'était vers 22h, Abdelfateh était à la maison en train de regarder la télévision lorsque des tirs de sommation en été entendus, nous raconte la sœur de la victime. Abdelfateh se rend compte que son frère Djelloul, 22 ans, n'était pas encore rentré et décide alors d'aller le chercher avant que les choses ne dégénèrent. "Il est tombé dans mes bras, il m'a récupéré au centre-ville et on rentrait à la maison. Il me grondait et me reprochait d'être resté dehors jusqu'à 22h. Lorsqu'on est arrivé du côté du dispensaire, pas très loin de la maison, nous avons trouvé des affrontements. Il y avait des coups de feu, une balle a ricoché et mon frère l'a reçue à la tête. Il est mort dans mes bras. Les pompiers sont arrivés et l'ont transporté à l'hôpital", témoigne Djelloul. L'information a vite fait le tour du quartier mais ce n'est que vers 23h30 que la famille Akriche a confirmé le décès de son fils. "Il faut arrêter de raconter des mensonges, le PV de la police fait état d'une tentative d'attaque du commissariat de Bou-Ismaïl, alors qu'il est tombé pas très loin de la maison. Je veux connaître la vérité et que justice soit faite", réclame le père de la victime. La famille s'insurge contre les autorités qui refusent de donner des informations concernant cet incident et réclame la dépouille de la victime. "Cela fait 22 ans qu'on vit dans la misère et maintenant on subit une telle injustice. Il est où le gouvernement dans ce pays", nous dira Djelloul.
La dépouille de la victime est encore à la morgue de l'hôpital de Blida alors que l'enterrement est prévu probablement pour aujourd'hui.
Source: http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=148705
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Emeutes à Bou-Ismail


Akriche Abdelfattah


Journaux du 8 Janvier 2011

Après M’Sila, un deuxième manifestant tué à Bousmail

Les émeutes commencent à prendre une tournure dramatique. Au quatrième jour des manifestations contre la cherté de la vie, deux manifestants ont déjà trouvé la mort et plusieurs dizaines blessés. Un manifestant de 32 ans est mort vendredi 7 janvier lors d'une manifestation à Bou Ismaïl, dans la wilaya de Tipaza, selon l’agence AFP qui cite des sources médicales.

Akriche Abdelfattah serait décédé après avoir reçu une grenade lacrymogène en pleine figure, selon cette source médicale. Son corps a été transporté à la morgue de la petite ville de Qolea, à un vingtaine de kilomètres d'Alger, selon cette même source.
Source: http://www.tsa-algerie.com/divers/apres-m-sila-un-deuxieme-manifestant-tue-a-bousmail_13632.html
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Trois morts. Tel est le bilan encore provisoire des émeutes qui se sont éclatées depuis quatres jours à travers plusieurs régions du pays.
Par ailleurs, un manifestant de 32 ans est mort vendredi lors d'une manifestation à Bousmaïl, dans la wilaya de Tipaza , dans des affrontements avec la police, a appris l'agence afp samedi 08 janvier de source médicale.
Source:http://www.elwatan.com/une/les-emeutes-ont-deja-fait-trois-morts-08-01-2011-106304_108.php
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Emeutes en Algérie
Deux morts et 400 blessés, selon Daho Ould Kablia
Le ministre de l'Intérieur Daho Ould Kablia a confirmé la mort de deux manifestants, un à M'sila et l'autre à Bousmail, dans les émeutes qui secouent le pays depuis mercredi, dans un entretien samedi à la radio Chaine III. Il a ajouté que 300 blessés ont été enregistrés dans les forces antiémeutes et 100 blessés parmi les manifestants.

Source:http://www.tsa-algerie.com/divers/deux-morts-et-400-blesses-selon-daho-ould-kablia_13635.html
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Lecteur: wildfire_dz@hotmail.com
8 Janvier 201: La manifestant mort la nuit du Vendredi le 07/01/2011 après avoir été blessé par une bombe lacrymogène s\'appellerait donc AbdelFettah Akriche. Agé de 32 ans, il a été hospitalisé vers Koléa puis à l\'hopital de Frantz fanon à Blida. La cause de la mort de AbdelFettah n\'est pas encore officiel. Certains voisins affirment qu\'il a été tuer par balle. Allah Yarahmou. Inna lillah wa ina ilayhi raji3oun
Bonjour Je viens de poster un article dans \"Derniere Info\" Et j\'affirme bien ce que je dit car je suis un des voisins et tout prés (a 30m de la gendarmerie) et j\'ai été temoin
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3 Janvier 2011
Régions : TIPASA
Démantèlement d’un réseau de vente illicite de boissons alcoolisées à Bou Ismaïl

Nous venons d'apprendre auprès des services de police de la wilaya de Tipasa, que le 28 décembre 2010, un individu âgé de 35 ans venait d'être mis sous mandat de dépôt par le parquet de la justice de Koléa, pour le motif de vente illicite de boissons alcoolisées.
Selon nos informations, il s'agirait d'un réseau qui alimenterait d'autres sites clandestins de consommation de boissons alcoolisés à Bou Ismaïl. Au commencement, les services de police ont été informés de mouvements suspects au niveau de la cité des 40-Logements. Placé sous surveillance, le quartier révéla de grosses surprises. Le 25 décembre, aux environs de 14h, les services de police interceptèrent une cargaison de 1 392 pièces, allant de la canette de bière aux spiritueux d'une valeur de plus de 25 millions de centimes. La perquisition du local clandestin de vente a permis la saisie d'autres cartons de boissons alcoolisées.
L. H.
Source de cet article : http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2011/01/03/article.php?sid=110814&cid=4

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Le Quotidien d'Oran du 2 Mai 2010
Bou Ismail: Le transport public pose problème
par Larbi Houari

La paisible ville de Bou-Ismail, côtière et touristique de surcroît, reste préoccupée par une histoire d'arrêts de bus et de plan de circulation de la ville. Cela a pour origine la location d'une nouvelle halte routière de bus en état d'hibernation depuis plusieurs années et qui vient de retrouver sa vocation de «gare routière». Cette infrastructure, enclavée, éloignée de la vue, est perchée sur les contreforts sud de la ville de Bou Ismail, se trouve à plus de 1500 mètres du centre de la ville. Les micros bus de type karsan, ne sont plus autorisés à emprunter le centre-ville pour se rendre à la principale gare routière, qui est réservée aux autobus de grosse envergure et inter wilaya. Les conducteurs de micro bus de type karsan, sont déviés afin de stationner, au sein de cette nouvelle halte routière sise au niveau de l'ex- OFLA, à proximité du rond-point menant vers la voie expresse de Bou-Ismail. Ces transporteurs très mécontents ont menacé vainement de recourir à la grève, s'ils ne seraient autorisés à transiter par la gare routière principale. Ainsi, les citoyens provenant de l'extérieur de la ville, pour se rendre à cette nouvelle gare routière ou au centre-ville, doivent utiliser une navette et payer en sus 10 dinars. Un citoyen pour ramener sa famille à l'hôpital, nous affirme à ce sujet : «il est inconcevable de marcher plus de 1500 mètres pour arriver au niveau de la gare routière, puis à l'hôpital de la ville située à l'extrême Est de Bou Ismail. C'est un véritable calvaire». Une vieille femme sexagénaire haletante, nous confie quant à elle: «en marchant une centaine de mètres, le long de l'avenue principale, je suis épuisée. Aucun bus ne passe, ni s'arrête pour me transporter». Ainsi, plusieurs citoyens s'interrogent et s'insurgent :»qui a eu l'idée de concevoir un tel plan de circulation où aucun bus ne peut s'arrêter le long de cette avenue ?». Mais, plus grave est le mécontentement des citoyens, du côté des villes de Aïn Tagourait, Bou Haroun, et Khmisti, qui se trouvent empêchés de rejoindre le centre-ville directement à l'aide de micro bus, et de ce fait obligé de recourir aux bus navettes. Tôt le matin, quelques autobus, transgressent l'interdiction en vigueur en se chargeant de transporter les citoyens stationnés au niveau de l'ex-souk el fellah ou bien au niveau du feu rouge de l'intersection, près de Casmica. Mais gare aux contrevenants, qui risquent d'y laisser leur permis de conduire.

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Selon un l'article du journal "El Khabar" version française du 19 Janvier 2010

Les élèves du technicum Malek Ben Nabi de Bou Ismaïl ont piqué une grande colère suites aux abcences perpétuelles d'un enseignant d'Anglais.Ce dernier n'à assuré que six cours depuis la rentrée scolaire en Septembre dernier.Soit l'équivalent de deux heures par mois, alors qu'il est appeller à assurer trois heures par semaine.Le Directeur de ce technicum n'a pas trouver de justifications à donner aux parents d'élèves.Il à tenté de les convaincre que l'enseignant en question justifie ses absences par des certificats médicaux tout en incombant la responsabilité à l'Inspecteur de l'Education.Cela arrive pendant que le Ministre de l'Education ne cesse d'institer à chaque occasion sur la dicipline au sein des établissements scolaires.

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Conversion à la religion Musulmane
10 Janvier 2010
Correspondant: Ahmed HOUARI

Le vendredi 1 janvier 2010 à eu lieu une communion religieuse menée par son honorable le Mufti de la grande Mosquée de Bou-Ismail consacrée la conversion à la religion Musulmane de Monsieur Di Martino Vincent Merouane.Par la même occasion, Monsieur Mr Di Martino a convoyé en juste noce avec Mlle MAKHLOUF Mina ; une cérémonie pour sacrer ce mariage a eu lieu au Restaurant " La Brise De Mer " sis au Boulevard Front de Mer à Bou-Ismaïl. Nous souhaitons une longue et heureuse union à Mr et Mme Di Martino.
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Funérailles de Mr HAMADI Mohamed
10 Janvier 2010
Correspondant: Ahmed HOUARI

Les funérailles de Mr HAMADI Mohamed ont eu lieu le 10 Janvier après la prière du d'hor. Le regretté a été accompagné jusqu'à sa dernière demeure par une foule nombreuse, en présence du Ministre des Postes et Télécommunications, du wali de Tipaza, du Chef de la Sûreté de Wilaya, du Président de l' APC de Bou –Ismaïl et des cadres centraux d' Algérie Poste. Il était inhumé au cimetière de la ville. Monsieur HAMADI Mohamed était un haut fonctionnaire de l'Etat, Président Directeur Général d'Algérie Poste.
Discret et respectueux et issue d'une famille modeste, Monsieur HAMADI Mohamed est natif de la ville de Bou-Ismaïl. Grand sportif il a remporté cinq titres de champion d'Algérie en lutte Gréco-romaine. Il était très estimé par beaucoup à Bou-Ismail. Nous présentons nos condoléances à sa famille.


Informations de la Presse Nationale - Année 2008

Tipaza: Voie express Bou Ismaïl-Cherchell, démarrage du projet
27 Octobre 2009
Source: El Watan M’Hamed

En dépit d’un léger retard enregistré, les responsables de l’entreprise chinoise CSCEC promettent la livraison du tronçon de la voie express reliant la localité côtière à l’entrée est du chef-lieu de la wilaya de Tipaza, soit un linéaire de 25 km vers la fin du 1er semestre de l’année 2010.
Quant à l’appel d’offres national et international du contournement de la ville de Cherchell, il sera lancé dans les jours à venir. Les Chinois avaient décroché le marché relatif à la construction du tronçon (48 km) de la voie express reliant la localité côtière de Bou Ismaïl jusqu’au rond-point de Oued Bellah, qui se trouve à l’entrée est de la ville de Cherchell, pour un montant qui avoisine 19 milliards de dinars. Officiellement, les travaux ont démarré le 4 août dernier et doivent s’achever 28 mois plus tard. Ce tronçon routier entre dans le cadre de la réalisation de l’axe autoroutier Alger-Cherchell. Les villes côtières, allant de Bou Ismaïl jusqu’à Tipaza, seront désengorgées dans un premier temps et la circulation sera atténuée au niveau des RN11 et 67. Un seul viaduc important d’une longueur de 345 m sera construit à l’entrée de Bou Ismaïl en plus de 2 échangeurs à Tipaza, de 31 autres ouvrages qui seront construits le long de cet axe routier de la voie express depuis Bou Ismaïl jusqu’à Oued Bellah, pour assurer les passages inférieurs et supérieurs des véhicules. Le montant alloué par l’Etat, afin de payer la superficie globale expropriée de 220 ha, s’élève à un peu plus de 567 millions de dinars, alors que la trentaine d’habitations qui seront rasées, car érigées le long du tracé, ont fait l’objet, selon les responsables des projets, non seulement d’une indemnisation financière, mais aussi d’une attribution de 30 logements ruraux au profit des familles concernées. Les chefs de projet chinois justifient une fois encore le retard dans le respect du délai, par l’attente dans l’arrivée des conteneurs et de leurs engins en provenance de leur pays vers Algérie. « Il n’y a pas d’obstacle qui justifie cette perte de temps », déclare le chef de l’exécutif de la wilaya de Tipaza aux responsables chinois. « Nos amis Chinois nous ont habitués à un rythme de travail beaucoup plus élevé. Vous pouvez louer les engins en attendant la réception des vôtres et travailler parallèlement dans plusieurs sites de ce projet, pour résorber votre retard et nous remettre cet axe routier avant le mois de juin 2010. Les estivants de l’année 2010 n’auront plus la contrainte des encombrements au niveau de nos routes. »

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30 Mai 2009
Correspondant: Ahmed HOUARI

Enfin L’Olympique du Littoral accède en division supérieure. Bravo et félicitation à tous les joueurs, au staff technique, aux dirigeants, aux supporters et à toute la population de Bou-Ismaïl qui a soutenue cette équipe vainqueur tout au long du championnat.
Aussi il est à signaler un phénomène préoccupant tout à fait nouveau qui a apparu dans notre ville après chaque match: une minorité de pseudo supporters dont l'âge varie entre 14 et 20 ans agressent des citoyens, particulièrement les femmes qui par malheur se retrouvent sur leur passage et s’attaquent au locaux commerciaux. Nous déplorons et désapprouvons cette bande d'énergumène voyous que la population unanimement condamne. Nous présentons nos excuses à ceux et celles qui ont été victime de cette bande de dépravés qui ternissent l’image de notre ville. Nous faisons appel aux services de Police à combattre fermement ce nouveau phénomène anti-social avant qu’il devienne normal durant la prochaine saison.
NB du webmaster : Malheureusement, l’équipe du site n’a obtenu aucune photo de l’équipe depuis les années 90.



Pollution Marine
17 Mai 2009
Correspondant: Ahmed HOUARI


Durant la journée du 3 mai 2009, la pollution marine a atteint un niveau très élevé sur toute la longueur de la plage de Bou-IsmaÏl. Toutefois, la station de dessalement a continué à pomper l'eau de mer pour alimenter la population de la ville. L’eau de mer était contaminée par des produits chimiques qui ont changé la couleur en orange et rouge
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Nouveau siège de l’APC à Bou Ismaïl : Une facture de 200 millions de dinars
El Watan du 01 Avril 2009




Un nouveau siège pour abriter l’Assemblée populaire communale de Bou Ismaïl est en cours de construction. Les travaux en gros œuvres des bâtiments qui ne sont toujours pas achevés auront coûté environ 114,5 millions de dinars. Le coût des travaux de décoration effectués sur du bois et du plâtre s’élève à 19 millions de dinars. Par contre, 72 millions de dinars ont été consacrés pour le chapitre des travaux (...)


Doyen de la Ville de Bou-Ismail
6 Mars 2009
Correspondant: Ahmed HOUARI

Monsieur BELDJILALI Abelkader âgé de 99 ans est le doyen de la ville de Bou-Ismaïl ; il fêtera prochainement ses 100 années. Aveugle, sourd et paralysé, il est alité mais il garde toujours toutes ses facultés mentales. Il est hébergé et pris en charge par la famille de Mr. Haouari Ahmed résidant au Boulevard Front de mer Bou-Ismail.
L’équipe de
www.bouismail.org souhaite un joyeux et chaleureux anniversaire au doyen de notre ville et lance un appel aux responsables locaux et aux citoyens de notre ville d’honorer Monsieur BELDJILALI Abelkader lors de son centième anniversaire. Longue vie à Monsieur BELDJILALI Abelkader.









Démolition des aménagements illicites

17 Decembre 2008

Correspondant:El Watan

Les responsables de l’Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) de la wilaya de Tipaza ont lancé une opération de démolition des aménagements extérieurs illicites dans des cités d’habitat urbain au chef-lieu de wilaya et dans la commune de Bou Ismaïl, selon l’APS qui cite le directeur de l’OPGI.
L’opération a été initiée pour mettre un terme aux nombreuses atteintes au tissu urbain qui « se sont multipliées ces dernières années et qui ont fortement dénaturé le paysage urbain de nos villes », a-t-il indiqué. Elle a ciblé la cité des 70 Logements, à Bou Ismaïl où des résidants ont squatté des espaces communs et procédé à des aménagements extérieurs illicites, tels que des parkings pour leurs véhicules ou l’installation de grillage cernant le rez-de-chaussée des bâtiments et ce, en infraction à la réglementation en vigueur qui interdit tout changement de l’aspect extérieur des immeubles et à la loi relative à la copropriété, a précisé la même source.
Les auteurs de ces aménagements illicites, selon le responsable, feront tous l’objet de poursuites judiciaires et ce en application de la règlementation en vigueur. Pour rappel, l’enveloppe globale consacrée à l’amélioration urbaine dans la wilaya de Tipaza est estimée à 6 milliards de DA depuis le lancement de cette opération en 2004, a affirmé, lors de sa dernière visite dans cette wilaya, le ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme, Noureddine Moussa.



3 Decembre 2008
Correspondant: Ahmed HOUARI

Dans la matinée du 3 décembre 2008, la ville de Bou -Ismail à reçu la visite du Ministre des Affaires Sociales pour la pose de la première pierre d’un centre d’accueil des familles des enfants devant subir des opérations chirurgicales au niveau de la clinique de chirurgie cardio-vasculaire venu des wilayas lointaines. Cette heureuse initiative est bénéfique aux parents d'enfants en bas âge qui ne trouvent aucune structure hôtelière au niveau de la ville à moins de se rendre à Tipaza ou Zéralda et à quel prix. Heureusement que par le passé et jusqu'à présent des habitants castiglionnais charitables hébergent gratuitement et régulièrement de nombreuses familles qui sont dans le besoin et désemparées par la maladie qui affectent leurs enfants. Par cette occasion, je remercie tout ceux et celles qui ont fait actes de bienfaisance et aussi je salut l'équipe chirurgicale et para médicale de la clinique cardio-vasculaire de Bou -Ismaïl.





Une structure sanitaire au diapason
La clinique médicochirurgicale infantile (CMCI) de Bou Ismaïl (Tipaza) commence à devenir une structure de référence en matière de techniques de pointe utilisées et de prise en charge de la pathologie de cardiologie congénitale chez les enfants et les bébés.
Ceci grâce à la compétence de son encadrement médical et son accompagnement par des compétences étrangères, notamment belges, suisses et anglaises. En dépit des « secousses internes » qui avaient entravé le fonctionnement de cette CMCI de Bou Ismaïl, une évaluation exhaustive de son évolution avait été entreprise. Des propositions ont été émises et des actions initiées à la fois pour la prise en charge des patients et des exigences socioprofessionnelles de l’ensemble des travailleurs.Le projet d’extension de la CMCI de Bou Ismaïl est lancé, bien qu’il traîne encore. Les responsables ont promis le lancement des travaux au courant du 1er trimestre 2009. La CMCI de Bou Ismaïl, en raison de son activité actuelle, sera érigée en structure hospitalo-universitaire. Son haut standing dans le domaine des actes médicaux pratiqués, et surtout de la formation médicale, n’ont pas laissé indifférent le ministre du Travail, Tayeb Louh, qui compte intervenir auprès de son homologue de l’Enseignement supérieur pour la signature d’une convention.
Dans cette clinique médicochirurgicale infantile, on pratique le cathétérisme (diagnostic et intervention) et les interventions à cœur ouvert et à cœur fermé. Quant au projet d’extension inhérant à la construction de la CMCI 2, il vient d’être validé par la direction générale de la CNAS. Il s’agit de la réalisation d’un monobloc qui comprend l’hospitalisation et un plateau technique de dernière génération. En ce qui concerne les préoccupations du personnel médical, le DG de la CNAS a indiqué que la formation est l’un des volets qui sera très suivi et contrôlé dans sa prise en charge. La rémunération du personnel dépendra du taux de production et de réussite mentionnés dans le contrat de performance. Les médecins algériens veulent que leurs salaires soient alignés au même niveau que celui des praticiens étrangers qui viennent effectuer des interventions, conformément aux contrats de performances.
« L’équation est simple : l’Etat est disposé à revoir sa stratégie pour garder les cadres algériens de haut niveau dans le pays », déclare Tayeb Louh en visite, la semaine dernière, dans cette clinique.Le directeur général de la CNAS se déclare disposé à accompagner la CMCI pour mettre à la disposition de cette infrastructure tous les moyens logistiques, en attachant beaucoup de prix au respect des engagements définis au préalable, qui sont, par ailleurs, évalués régulièrement. Le personnel se plaint de la lenteur dans l’acquisition des matériels pour leur mission dans cette clinique. En matière de chirurgie cardiaque congénitale infantile, 4 cliniques privées sont conventionnées avec la CMCI de Bou Ismaïl. L’une se trouve à Annaba et les 3 autres à Alger. La porte de la CNAS demeure ouverte pour la signature des conventions avec les cliniques du secteur privé, selon le DG de la CNAS. Le taux de mortalité dans cette clinique est passé de 5 à 3%. Du mois de septembre au 3 décembre courant, la CMCI a enregistré avec succès 40 interventions de cathétérisme cardiaque.
Le nombre de dossiers en instance aura été incroyablement revu à la baisse. Ayant profité de la visite de Tayeb Louh pour lui demander un équipement vital pour l’échographie cardiaque, le Pr Touati révèle que 251 dossiers sont en instance. Les équipes médicales étrangères prendront en charge 50 enfants malades selon les accords conclus avec la CMCI, tandis que le reste sera pris en charge par l’équipe médicale algérienne.






Photo & Commentaire d'Ahmed Houari:
11 Novembre 2008

Le Boulevard Front de Mer une nouvelle fois inonder ce jour le 16.11.08 à 12 heures 15 mn. Le siège de la Daira n'a pas échappé à cette inondation du fait que les pouvoirs publics de la ville ont autorisé des constructions dans le lit de l'oued « Sabatier » et voila le résultat. Les routes n'ont pas aussi échappé, (la montée de l' OFLA, la route Nationale, le quartier de l'abattoir, le CEM Ibn Hawqel et les différents endroits sont inondés). Bou-Ismaïl est actuellement dans la gadoue, après la clochardisation de la ville voici encore une fois la désolation.

Inondation du Boulevard Front de Mer à Bou-Ismail - 11 Novembre 2008





19 Novembre 2008
Correspondant: Ahmed HOUARI


Dans la soirée du Jeudi 20Novembre 2008 à 20 :30 h, un véhicule particulier de marque Peugeot 206 de couleur gris, conduit par un jeune avec un autre passager à bord, roulait à toute allure quant il a percuté un talus de bancs et de bloc de béton. Vus l'absence total des services de la voirie de la municipalité pour réparer et rétablir les infrastructures endommagées par les dernières inondations, des citoyens ont étalé et déployé ce monticule de fortune pour banaliser une bouche d'égout brisée qui représentait un risque majeur aux piétons et aux automobilistes. Encore une fois le laxisme des responsables de l’APC aurait pu être fatal avec perte de vie humaine. Heureusement que ce jeune qui inconsciemment roulait à grande vitesse est sorti indemne car il à finit sa course enfoncé dans le mur d'une maison. Il est utile de signaler que le boulevard front de mer est devenu périlleux ou il faut faire très attention car des bolides en passent au quotidien; une autre lacune des autorités qui ne renforcent plus les lois du code de la route. Enfin pour y mettre une touche agréable le boulevard est transformé en un circuit pour tout les auto- écoles.







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