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Actualité - Info
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Le Soir d'Algérie du 11 Janvier 2016:
Actualités : IL SERA IMPLANTÉ À BOU-ISMAÏL
Un centre d’excellence dédié aux TIC et à la téléphonie pour bientôt
L’Algérie vient de se doter d’un instrument unique dédié au développement des nouvelles technologies du numérique, à travers la réalisation à Bou-Ismaïl d’un Centre national d’excellence dédié aux technologies de l’information, de la communication et de la téléphonie.
La récente visite à Bou Ismaïl de M. Mohammed Mebarki, ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, et du directeur général d’Algérie Télécom sont autant d’indices qui caractérisent l’importance et l’enjeu d’un tel établissement pour le futur de l’Algérie.
C’est d’ailleurs à ce titre que M. Mebarki a tenu à préciser, dans son allocution d’ouverture à destination des cadres d’Algérie Télécom et des cadres du staff de la wilaya de Tipasa, que «l’amélioration de l’acte de formation et la qualification de la ressource humaine, selon les évolutions technologiques du monde, demeurent aujourd’hui parmi les mesures les plus appropriées pour faire face aux mutations économiques de l’heure», a tenu à rappeler le ministre, qui ajoute qu’il a été adopté «une nouvelle démarche basée essentiellement sur une plus grande ouverture de nos établissements de formation sur leur environnement socio-économique».
Dans cette perspective,
M. Mebarki a indiqué que «le développement du partenariat avec les entreprises économiques, à l’effet de déterminer de manière collégiale les spécialités à ouvrir et les contenus de formation, ainsi que l’impact à donner à ces spécialités en vue d’une adéquation de la formation aux besoins du développement».
Définissant l’objectif des centres d’excellence, le ministre précisera «qu’ils s’inscrivent comme une réponse aux changements et aux mutations technologiques dans le monde...».
Ainsi, le centre d’excellence de Bou-Ismaïl permettra, selon l’orateur, de «propulser les technologies de l’information, de la communication et des métiers de la téléphonie notamment par la formation et la mise à disposition du marché de l’emploi de compétences spécialisées».
M. Azouaou Mehmel, le P-dg d’Algérie Télécom, prenant la parole à son tour, mettra l’accent dans ce contexte sur la formation d’une ressource humaine qualifiée, qui constitue un apport majeur à la formation supérieure acquise dans nos établissements supérieurs. Il dira à ce propos : «Il faut que l’élément humain joue un rôle pratique majeur dans les TIC, et dans tous les domaines de l’économie. On a mobilisé nos cinq constructeurs partenaires à l’instar de Cisco, Huawei, Microsoft et d’autres partenaires afin de former nos potentialités dans ces nouvelles technologies, au sein de ce centre d’excellence de Bou-Ismaïl», il ajoute plus loin que «les programmes de formation ont été identifiés et finalisés ainsi que les secteurs auxquels seront dédiés ces qualifications et ces spécialités, à travers les micro-entreprises que l’Ansej a réussi à mettre en place et à homologuer».
Houari Larbi
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Les Informations Locales
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Le moudjahid et cinéaste Mohamed Slim Riad a tiré sa révérence
Le cinéma algérien a perdu l'un de ses génies, le moudjahid et réalisateur Mohamed Slim Riad qui vient de tirer sa révérence lundi dernier à l'âge de 83 ans, après avoir été pendant de nombreuses années un metteur en scène prolifique, tournant plusieurs films qui sont restés gravés dans l'imaginaire algérien. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Le Soir d'Algérie du 11 Janvier 2016:
(© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA) |
BOU ISMAÏL La ville de Bou Ismaïl, située à 45 kilomètres à l’ouest d’Alger, est une ville côtière, qui fait office de daïra regroupant près de 80 000 habitants installés dans une superficie de 25 kilomètres carrés, pour les quatre communes qui la composent, à l’instar de Khemisti, Aïn Tagouraït, Bou Haroun et le chef-lieu de la daïra de Bou ismaïl, qui dispose de près de 50 000 habitants. Houari Larbi
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Désignation d'un élu pour expédier les affaires courantes de la commune de Bou Ismail |
Informations de la Presse Nationale - Année 2014
À l'ouest d'Alger, des plages transformées en poubelles à ciel ouvert
10:26 mardi 28 juillet 2015 | Par Ghania Berki et Wiam Boulanouar | Actualité
Plages polluees à Bou Ismail by TSA-Tout sur l'Algérie
(© GHANIA BERKI ET WIAM BOULANOUAR - TSA)
Des déchets ménagers, des eaux usées, des déversements de produits chimiques… À Bousmail, une commune entre l'Ouest d'Alger et Tipaza, la plage n'est pas synonyme de vacances et de détente.
La Paillote est une plage connue de Bousmail qui s'étend sur plusieurs kilomètres. Depuis quelques années, elle ressemble à une poubelle à ciel ouvert. Des déchets sur la rive, au bord de la mer, et même dans l'eau au large.
Une situation qui dure depuis 10 ans
" Il n'y a même plus de poissons, même plus de sardines, cette plage est une déchetterie ", dénonce un pêcheur, assis sur sa moto en train de contempler les dégâts. Selon lui, la situation dure depuis une dizaine d'années, " quand les éboueurs viennent, ils prennent la moitié et jettent le reste dans l'eau. Je les ai vus faire ", dénonce-t-il.
(© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA)
Parmi les déchets, des bouteilles de vin et des canettes de bière. Elles sont jetées par centaines sur la plage, devenue l'endroit préféré des jeunes de la région quand ils veulent se changer les idées sans se préoccuper de l'environnement. En plus des déchets, un mélange d'odeur nauséabond se dégage de cette plage, l'air marin n'existe même plus.
(© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA)
Tonic pointé du doigt
" Cela fait 4 ans que je viens, et ça se dégrade chaque année. J'ai même peur de laisser mes enfants nager ", explique Mohamed Lamine, un habitant de Laghouat qui séjourne actuellement chez des amis. Mais cela n'empêche pas certains enfants et même des adultes de nager pour " se rafraîchir ", même s'ils affichent leur inquiétude concernant cette couleur blanche dans l'eau qui est synonyme de forte pollution.
(© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA)
En fait, ces produits chimiques seraient des liquides industriels provenant de la zone industrielle de Bousmail. Selon les habitants de la commune, c'est notamment l'entreprise Tonic qui déverse directement ses déchets dans une partie de cette plage interdite à la baignade.
Une plage nommée " Les égouts "
Un peu plus loin, Abdelkader, pêcheur et employé à la mairie, fréquente " Les égouts " depuis près de 55 ans. Cette petite plage a été baptisée par les Français du temps de la colonisation, car des déchets étaient déversés au large de la mer. " Rien n'a changé depuis l'indépendance. Sauf qu'aujourd'hui, même le bord de mer est infecté ", raconte-t-il. Il met en cause les autorités de la wilaya et de l'APC qui " ne font rien ". Selon lui, il faudrait " Rdjel, des vrais hommes qui s'occupent de cette commune qui va à la dérive ". Il affirme lui aussi que Tonic, et un Faïencier de la région, sont les causes principales de la détérioration des plages.
(© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA) (© Ghania Berki et Wiam Boulanouar - TSA)
" Personne ne veut arranger les choses "
Avec les temps, les habitants semblent résignés. Hamid est sur la plage pour un barbecue avec des amis. Pour déjeuner proprement, il a " nettoyé " l'endroit où il cuisine. Il explique que " personne ne veut tendre la main à l'autre pour arranger les choses ". Et d'ajouter : " Tout est dans l'éducation, des gens bien élevés ne jetteraient jamais des ordures dehors ".
Plus loin, un autre habitant confirme : " Même si nous nettoyons, il y aura toujours des personnes qui continueront de salir ".
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BOU ISMAÏL
Le front de mer dans tous ses états
Le Soir d'Algerie 26/05/2015
La ville de Bou Ismaïl, située à 45 kilomètres à l’ouest d’Alger, est une ville côtière, qui fait office de daïra regroupant près de 80 000 habitants installés dans une superficie de 25 kilomètres carrés, pour les quatre communes qui la composent, à l’instar de Khemisti, Aïn Tagouraït, Bou Haroun et le chef-lieu de la daïra de Bou ismaïl, qui dispose de près de 50 000 habitants.
La ville de Bou Ismaïl, jadis traversée par une voie ferrée, constituait la fierté de ses anciens habitants, à majorité coloniale, notamment avec ses avenues plantées de platanes et de bigaradiers, mais aussi par son boulevard Front de mer, juché sur une petite falaise, attenante à une plage familiale et qui fut, jadis, réservée aux seules familles coloniales. Cette ville comptait alors près de 8 000 habitants en 1958 selon le recensement de l’époque. Ainsi, ce boulevard Front de mer fut un véritable havre de paix, avec une large promenade piétonne qui, quoique remise en état, se trouve malheureusement aujourd’hui agressée par des déchets jetés le long de la plage qui y est attenante.
Bou Ismaïl reçoit des centaines de touristes étrangers dont certains viennent la visiter par nostalgie, à l’instar des pieds-noirs italiens, espagnols et français. Selon plusieurs riverains, outrés par cette agression de l’environnement «balancer ses ordures à côté ou sur la plage semble être devenu une seconde nature, geste provoquant la dégradation de notre littoral».
Plus grave est la déclaration d’un autre riverain qui affirme que «des monticules d’ordures sont visibles au bord ou dans la mer auxquels s’ajoutent les exutoires de canalisations d’égouts qui souillent l’eau de mer par des déchets plastiques et autres détritus charriés par le déversement des eaux et déchets ménagers. Des odeurs pestilentielles se dégagent alors de ces déchets», clame cet habitant.
Certains habitants de Bou Ismaïl dénoncent «l’incivisme de la population et un manque d’intérêt de la part de l’administration en charge des services publics de collecte et de ramassage des déchets».
D’autres riverains proposent des démarches et des solutions à ce problème : «Chaque citoyen devra participer à la propreté de la ville en accomplissant chaque jour le geste d’éliminer les déchets se trouvant dans son environnement et déposer les ordures dans les poubelles.»
Un autre interlocuteur estime que «l’implication des autorités locales est vitale ; c’est-à-dire mettre en place un système de collecte et de ramassage quotidien qui permettra d’impulser le tourisme local et national en donnant un nouvel éclat à la côte et notre plage pourra retrouver son lustre d’antan», estime cet habitant.
Houari Larbi
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Désignation d'un élu pour expédier les affaires courantes de la commune de Bou Ismail
Par Agence | 23/02/2015 |
Un élu a été désigné pour gérer les affaires courantes de la commune de Bou Ismail (Tipasa), en application de la législation en vigueur, après la suspension du président de l'Assemblée populaire communale (P/APC) suite à sa condamnation à cinq ans de prison pour " faux et usage de faux de documents officiels ", a-t-on appris, lundi auprès des services de la wilaya.
La direction de la Règlementation et des affaires générales (DRAG) a décidé la " suspension " du P/APC, Smail Remla, jusqu'à la prononciation du jugement final dans l'affaire, dans laquelle il a été condamné, par la cour de Blida, a indiqué à l'APS, le chef du cabinet du wali, Mahfoudh Bouzertit.
Il a ajouté qu'un élu a été " désigné aux fin de gérer les affaires courantes de la commune, sans pour autant prendre la qualité de maire ".
Ce dernier va s'occuper de la gestion de la commune, " en attendant la prononciation du verdict jugement final, après l'étude du pourvoi en cassation ", a expliqué le responsable.
Selon ce responsable, ces mesures ont été prises afin de " débloquer la situation au sein de l'APC de Bou Ismail ", suite à la condamnation de son président, et au mouvement de solidarité qui s'en est suivi de la part des fonctionnaires de cette commune, qui ont observé un arrêt de travail, avant de reprendre leurs activités, hier dimanche.
Le P/APC de Bou Ismail (FLN), Smail Remla, actuellement en détention, avait fait l'objet d'une plainte, en janvier 2013, de membres de l'Assemblée l'accusant d'avoir " falsifié une délibération portant désignation de vice-présidents et de suppléants, sans les avoir consultés ", une délibération qui n'a pas été approuvée, en son temps, par les services de l'Administration. (Aps)
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Reprise de l'activité à l'APC de Bou Ismail après un arrêt de travail de trois jours
Par Agence | 22/02/2015 | 20:10
Les fonctionnaires de l'Assemblée populaire communale (APC) de Bou Ismail ont repris dimanche le travail après un arrêt de trois jours en solidarité avec le P/APC, condamné à cinq ans de prison pour " faux et usage de faux documents officiels ", a-t-on appris des services de la wilaya de Tipasa.
" Les fonctionnaires ont été convaincus de reprendre le travail et de laisser la justice suivre son cours, jugeant que l'intérêt du citoyen et de la commune est au dessus de toute considération ", a indiqué la même source, signalant la reprise du travail par une " grande partie des employés depuis jeudi après-midi ".
La direction de la Règlementation et des affaires générales (DRAG) a entamé dimanche des procédures pour débloquer la situation au sein de l'APC, optant pour une " formule légale " désignant un élu pour gérer les affaires de la collectivité, dans l'attente de la prononciation du jugement final dans l'affaire du maire, après examen du pourvoi en cassation qu'il a introduit, a précisé la même source.
Le P/APC de Bou Ismail (FLN), Smail Remla, actuellement en détention, avait fait l'objet d'une plainte de membres de l'Assemblée l'accusant d'avoir " falsifié une délibération portant désignation de vice-présidents et de suppléants, sans les avoir consultés ", une délibération qui n'a pas été approuvée, en son temps, par les services de l'Administration.(Aps)
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Le Soir d'Algerie 23/12/2014
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2015/01/05/article.php?sid=172964&cid=4
BOU ISMAÏL
Le détecteur AFIS localise et identifie les voleurs
La cellule de communication de la police de Tipasa vient de révéler, dans un communiqué rendu public récemment, qu’un réseau de voleurs d’équipements de télécommunications et de téléphonie vient d’être démantelé à Bou Ismaïl, grâce au «système automatisé d'identification des empreintes digitales, AFIS».
Selon les informations fournies par la police, le réseau composé de deux délinquants, les dénommés A. H., 25 ans et B. N., 30 ans, spécialisés dans le vol avec effraction des magasins de revente de produits de téléphonie et de télécom a été démantelé à la suite de l’identification de leurs empreintes digitales, laissées sur les lieux du délit, et que l’électronique et l’informatique ont vite fait d’identifier, en recourant au système AFIS, qui utilise une base de données où se retrouvent les informations concernant les délinquants déjà fichés au niveau national.
Houari Larbi
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Le Soir d'Algerie 23/12/2014
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2014/12/22/article.php?sid=172442&cid=4
BOU-ISMAÏL
Démantèlement d'une bande de malfaiteurs
La cellule de communication de Tipasa vient de rendre public un communiqué faisant état du démantèlement d'une bande de malfaiteurs, qui s'attaquait aux citoyens de la ville de Bou-Ismaïl.
Selon ce communiqué, deux citoyens, les dénommés H. B., 23 ans et B. A. 25 ans, furent victimes d'une agression au sabre et au fusil à harpons, et furent délestés de leur argent.
Lors des recherches entreprises sur la base des portraits-robots et des photos d'identification des bandits, enregistrés dans la base de données nationale, la police s'est déplacée vers le nid des délinquants.
Une agglomération de la ville, suspectée d'abriter des délinquants, a été encerclée par la police, qui a mis à jour une bande de six suspects, porteurs de sabres, couteaux et fusils à harpons. A la vue de la police, cette bande s'est dispersée en courant pour se réfugier à l'intérieur des maisons.
Quatre suspects furent interceptés et arrêtés, tandis que les dénommés A. Z. 24 ans, originaire de Bou-Haroun et T. A. restent en fuite et sont toujours recherchés.
Houari Larbi
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1 Juin 2014 - Quotidien El Watan
Enterrement du comédien et metteur en scène Ouriachi Abdellah
http://www.elwatan.com/culture/enterrement-du-comedien-et-metteur-en-scene-ouriachi-abdellah-02-06-2014-259617_113.php
Parmi les évènements qui avaient marqué la journée pluvieuse du 1er juin 2014, nous citerons la disparition de hommes qui se sont sacrifiés pour la culture algérienne. La mort de la chanteuse Noura et celle du comédien Ouriachi Abdellah (68 ans).
L’enterrement de ce dernier a eu lieu à Bou-Ismail (Tipasa), en l’absence des responsables du secteur de la culture. Discrètement comme il avait vécu, Abdellah Ouriachi le metteur en scène, retraité du T.N.A avait été enterré. Les dernières années de sa vie avaient été difficiles. Ouriachi était comme cette bougie qui brisait l’obscurité jusqu’à sa disparition. Il a fondu. La mort a délivré le metteur en scène de ses souffrances.
Les proches et quelques membres de sa famille avaient vécu le calvaire depuis que Abdellah Ouriachi avait été happé par une terrible maladie. Cet ancien élève de l’école des arts dramatiques de Bordj-El-Kiffan, promotion 1970, aura été l’auteur de nombreuses œuvres théâtrales , Somoud et Mir Ou Rabi K’bir font partie des produits éternels du théâtre national.
Dynamique, beau et intelligent dans son travail, Abdellah Ouriachi avait participé en qualité de comédien à de nombreuses pièces théâtrales et des films. Abdellah Ouriachi avait sombré dans l’oubli et le mépris. L’action salutaire de l’ex. Ministre de la Culture, Khalida Toumi avait soulagé durant un moment Abdellah Ouriachi. C’est la publication d’un article de presse sur le défunt qui avait entrainé la réaction occasionnelle de l’ex.membre du gouvernement et de l’autorité de wilaya en 2007.
Abdellah Ouriachi rechute et continue à souffrir de son mal chez lui à Bou-Ismail Le MTK de Youcef Taouint lui avait rendu un hommage au mois de mai 2007, lors de l’organisation de la 14ème édition « El Fordja » à la salle des fêtes de Koléa. Ouriachi Abdellah n’a pu conserver que son regard avant qu’il ne soit transféré aux services des urgences de l’EPH de Koléa, pour perdre connaissance jusqu’à sa mort.
La foule anonyme qui l’avait accompagné à sa dernière demeure illustre parfaitement la place qu’occupe Abdellah Ouriachi dans le cœur des citoyens, notamment ceux l’ex.Castiglione et des villes environnantes. Officiellement, des festivités se préparent pour célébrer la journée de l’artiste. Les œuvres de Abdellah Ouriachi restent vivantes.
L'équipe du site bouismail.org présente ses plus sincères condoléances à toute la famille de Abdellah OURIACHI.
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23 Avril 2014 - Quotidien Liberté
Le Snapap dénonce les résultats d’un concours de recrutement à Bou-Ismaïl
Par : B. BOUZAR
Le représentant du syndicat affilié à la Snapap dans la commune de Bou-Ismaïl dénonce les résultats du concours d'admission à 20 postes qui a eu lieu en décembre 2013. Ces postes sont : attaché d'administration, inspecteur de l’administration, intendant, chauffeurs, femmes de ménage. Les parents des candidats ont crié au scandale pour manque de transparence et le rejet des recours introduits. Selon le représentant de la section syndicale, les élus de l'APC ont violé l'article 20/194 en date du 25 mai 2012 portant organisation des concours et examens dans le recrutement dans l’administration publique. Selon la même source, les candidats reçus ont été convoqués pour signer le PV d'installation sans affichage des listes des reçus. Contacté par nos soins, un chef de service de l’APC nous a affirmé que la liste des candidats retenus sera affichée durant cette semaine. Et d'ajouter que la liste des candidats reçus a été avalisée par la direction de la fonction publique de la wilaya de Tipasa après un audit. Par ailleurs, la liste du concours d’accès sur titre pour les 3 postes à pourvoir entre intendants et sous-intendants au niveau de la direction de l’éducation de la wilaya de Tipasa, où 200 candidats ont participé au concours depuis plus de 3 mois, n'a pas été affichée. Selon une source sûre, ce retard s’explique par un problème entre la direction de la fonction publique et la direction de l’éducation concernant la notation finale de l'oral, de l'ancienneté des diplômes et la moyenne des candidats. Contacté par nos soins, un représentant de la direction de l’éducation de la wilaya a refusé de s'exprimer sur la date de l'affichage des listes des candidats retenus
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Dimanche, 20 Avril 2014 09: Quotidien Liberté
Cela se passe à Bou-Ismaïl (Tipasa)
Depuis dix-neuf ans, elle est femme de ménage dans le cadre de l’emploi des jeunes
Par : Rubrique Radar
On croyait que l’esclavage avait disparu en Algérie alors que les dispositifs même d’aide à l’emploi génèrent parfois des situations kafkaïennes qui y ressemblent en tous points de vue. Jugeons-enMme B. Z. M. est une femme de ménage, employée à la polyclinique de Bou-Ismaïl dans le cadre de l’emploi des jeunes, et ce, depuis… 1995. Non seulement dix-neuf ans après, l’État n’a toujours pas été en mesure de procurer un vrai poste d’emploi à cette mère de famille qui aura passé ainsi plus de la moitié de sa vie en emploi des jeunes, mais celle-ci est, en outre, obligée d’être présente sur les lieux de travail de 8h à 16h, et cela, contre un pécule qui ne dépasse pas… 5 450 DA.
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Informations de la Presse Nationale - Année 2012/2013
Tipasa : un colis de plus de 30 kg de kif traité retrouvé sur une plage de Bou Ismail
Par La Rédaction | 11/11/2013 | 18:52
Un colis de plus de 30 kg de kif traité, rejeté par la mer, a été retrouvé lundi sur une plage de Bou Ismail (Tipasa), selon la la cellule de communication de la Sûreté de wilaya.
Emballée minutieusement dans un grand paquet, cette quantité de drogue a été découverte au niveau de la plage du quartier de Sidi Boumaza de Bou Ismail par un citoyen, qui en a informé la Police judiciaire de la Sûreté de daira, laquelle a procédé à la récupération de ce colis de stupéfiants, est-il précisé de même source.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les tenants et aboutissant de cette affaire, “qui ne serait pas sans lien avec les coups durs portés aux barons de la drogue par les forces de la sécurité nationale, notamment à la frontière ouest du pays”, a-t-on fait observer.
Selon l’Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie, le trafic de drogue prend ces derniers temps “une ampleur inquiétante” , comme le montre son bilan des huit (8) derniers mois de l’année en cours faisant état de la saisie , à l’échelle nationale de plus de 127 quintaux de résine de cannabis.( Aps
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LIBERTE: Jeudi, 08 Novembre 2012, Par : Rédaction Nationale
http://www.liberte-algerie.com/actualite/page-2
Bou-ismaïl (Tipasa): Une opération de démolition d’habitations illicites empêchée
Une opération de démolition, hier, d’une quarantaine d’habitations illicites de la cité El- Amaria de la commune de Bou-Ismaïl (Tipasa) a été reportée après une négociation entre leurs propriétaires et les autorités locales, a-t-on constaté.
Une tentative de démolition des habitations avait donné lieu auparavant à des échauffourées entre leurs propriétaires et les forces de l’ordre qui ont dû faire usage de bombes lacrymogènes pour les disperser. À l’issue d’une entrevue entre les autorités locales et les représentants des familles habitant dans ces logements construits illicitement, il a été convenu de “réétudier, au cas par cas, l’ensemble des dossiers des concernés en vue de procéder à leur régularisation”.
Toutefois, les locataires des habitations illicites érigées sur le site après 2007 “sont exclus du bénéfice de cette opération de régularisation, et verront leurs habitations démolies, conformément aux dispositions de la loi en vigueur”, ont précisé les responsables locaux.
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Le Soir d'Algerie: Jeudi, 08 Novembre 2012, Par : Larbi Houari
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2012/11/08/article.php?sid=141189&cid=4
BOU ISMAÏL: Les voleurs étaient les voisins de la victime
Au début de la semaine passée, à 21h, le dénommé T. B., résidant à Bou Ismail, s’est présenté au commissariat de police de la ville pour déposer plainte pour un vol dont a été l’objet l’appartement de ses parents qui étaient absents et qui se trouvaient à La Mecque, pour un pèlerinage. Le fils des victimes du vol avait déclaré, que l’appartement était vide de 17 h jusqu’à son retour à 20h30. Ce fut à ce moment-là, qu’il avait constaté l’effraction de la porte d’entrée ainsi qu’une vitre brisée. La police de Bou Ismail a immédiatement diligenté une enquête. Sur les lieux du délit, la police avait découvert une porte fracturée et une vitre brisée portant de grandes taches de sang, qui, selon les policiers, seraient dues à une grande plaie. Les investigations se sont orientées vers les urgences hospitalières, où en effet, une personne âgée de 23 ans a été admise et soignée pour une large plaie à la main. La tâche des policiers devint aisée, car le malfaiteur dont les caractéristiques sanguines furent identiques aux taches de sang trouvées dans l’appartement «visité» correspondaient, et de ce fait fut facilement confondu. Le voleur avoua son délit et dénonça, son frère qui l’a accompagné dans son forfait. Il s’avère que ces malfrats, deux frères âgés de 23 et 21 ans, étaient les voisins immédiats des victimes. Cela étonna leurs parents, qui selon nos témoins, ne s’étaient jamais imaginés que leur progéniture allait s’attaquer à leurs paisibles voisins qui se trouvaient de surcroît à la Mecque. Le montant déclaré du vol de 80 millions n’a pu être récupéré, car une grande quantité d’or poinçonné fut écoulée au quart de son prix réel par ces malfaiteurs dans les souks d’Alger («Dlala »). Cependant la police a pu récuper 35 millions de centimes, un micro-portable, des téléphones portables, une gourmette et des boucles d’oreilles. Présentés avant-hier devant le procureur de la République près le tribunal de Koléa, les deux malfrats ont été placés sous mandat de dépôt, à la prison de Koléa.
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Le Soir d'Algerie: 12 Mars 2012, Par : Larbi Houari
Actualités : BOU ISMAÏL: Démantèlement d’un réseau de charlatans
La dénommée M. H., sans instruction, âgée de 48 ans, demeurant à Bou Ismaïl, est notoirement connue dans son quartier comme une personne qui reçoit quotidiennement des «clientes» qui sollicitent ses services de sorcellerie et de divination en vue de solutionner des litiges matrimoniaux, des problèmes de santé et tant d’autres préoccupations familiales. La semaine passée, les habitants du quartier où réside cette dame, outrés et gênés par ces affluences quotidiennes dans ce «cabinet particulier», sis dans un immeuble populaire de Bou Ismaïl, ont déposé plainte au niveau de la Sûreté de daïra de Bou Ismaïl. Agissant sur autorisation et mandat de perquisition du procureur de la République, les policiers ont procédé à une descente et à des investigations au niveau de ce lieu d’exercice de sorcellerie. Selon les policiers, la découverte est étonnante. Trois personnes furent appréhendées sur les lieux. Il s’agit de Mlle A. O. 23 ans, universitaire, résidant à Bou Ismaïl, B. H. 28 ans résidant à Hadjout et enfin Mme A. F., divorcée, femme de ménage, résidant à Fouka. Selon les informations qui nous ont été communiquées, les «clientes», à qui cette dame faisait payer ses services à prix d’or, ont indiqué qu’elles étaient là pour que la dame «experte en sorcellerie et divination» leur prédise le retour de l’ami ou du mari qui les a quittées en recourant à l’incantation, soit par le recours à la recette du «plomb fondu», soit par un exorcisme particulier et spécial sur les sous-vêtements de l’être aimé. Pour ceux qui ont perdu leur emploi, «l’experte» rassure ses clientes en leur prédisant d’heureuses nouvelles à condition d’utiliser des potions magiques et de porter sur soi une précieuse amulette, fruit d’incantations cabalistiques porte-bonheur. La descente et la perquisition de la police ont permis aussi de découvrir plusieurs morceaux de plomb, des sous-vêtements d’hommes, des bougies, plusieurs bouteilles de fleurs d’oranger, des épices rares et des cadenas. Présentées récemment au parquet de Koléa, ces personnes ont été accusées de complicité et d’exercice de sorcellerie. Elles ont été citées à comparaître à la prochaine audience, tandis que la propriétaire des lieux fut placée sous mandat de dépôt à la prison de Boufarik.
Larbi Houari
Informations de la Presse Nationale - Année 2010/2011
Informations de la Presse Nationale - Année 2008
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